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  • ALILOU - Mercredi 8 Octobre 2014 23:18
    Pour la première fois dans l'histoire de l'algerie depuis son independance, une femme procureur générale a la cour de boumerdes, c'est un honneur pour notre wilaya et vive ansa.
  • ALILOU - Samedi 11 Octobre 2014 10:45
    Demain c'est un grand jour a boumerdes et dans l'histoire de l'algerie.

    Le ministre de la justice en visite a boumerdes pour nommer le premier procureur generale FEMME dans l'histoire de l'algerie et a notre wilaya, inchaalah avec elle la justice va voir un autre look "AL 3ADALA "
  • ALILOU - Jeudi 21 Mai 2015 21:15
    TRIBUNAL DE BOUMERDÈS
    Le dossier Oultache rouvert par la justice



    Le procès, en cassation, de Oultache et consorts s’est ouvert, hier, au tribunal de la cour de Boumerdès. Pour rappel, la Cour suprême a, par décision rendue le 2 octobre 2014, accepté le recours (2e) introduit par les accusés. La même cour a donc renvoyé les accusés devant le tribunal correctionnel dépendant de la cour de Boumerdès.

    A l’ouverture de la séance, le président du tribunal a commencé par rappeler le dernier verdict prononcé par le tribunal d’Alger Sidi-M’hamed contre Oultache et consorts.
    Pour rappel, Oultache, le principal accusé dans ce dossier, a été condamné à 7 ans de prison ferme. Il est accusé entre autre de détournement de biens publics, de dilapidation de biens publics, de signature de marchés publics non conformes à la réglementation en vigueur, falsification de documents, conflit d’intérêts non signalé et d’autres délits mineurs. Oultache a été le premier accusé à passer devant la barre. La première affaire abordée est le marché 139/2007 passé avec l’entreprise ABM. Le contrat concernait la fourniture de 10.300 onduleurs et des cartouches d’encre pour une valeur de 515 MDA (plus de 51 milliards de centimes). Pour Oultache ce marché n’est qu’une action d’un vaste programme de la modernisation de la Sûreté nationale. «Ce programme a commencé par l’introduction d’une unité aéroportée de la police», dira-t-il.
    Cette modernisation est conçue et suivie par une commission technique dont il affirme qu’il en est le président. Or, le président exhibera plus tard une décision N°3109 établie le 22 mai 2007 par la DGSN et signée par le DG feu Ali Tounsi nommant Yahiaoui Abdelmadjid à la tête de cette instance. «Je ne suis pas au courant de cette décision qui a été établie par le DAG.» Et d’insister plus tard en réponse à un avocat : «C’est moi que le DGSN a chargé de piloter le projet de modernisation de la police.» Et d’insister sur sa fonction. «La Sûreté nationale a signé des contrats de centaines de millions de dollars ou en euros et c’est toujours moi qui présidait la commission technique.»
    Le président de la séance revient à la charge et fait la lecture d’une note de la tutelle ( DGSN) clarifiant les prérogatives de cette fameuse commission. Le président aborde ensuite sur le marché de fourniture d’onduleur, passé avec la firme ABM : «Comment se fait-il qu’une société qui a présenté une offre moins disante de plusieurs milliards a été écartée ?» «L’appel d’offres s’adressait aux seuls producteurs», justifiera Oultache.
    Sur le conflit d’intérêt dont il est accusé, vu que Sator, qui était vice-président de l’entreprise ABM avec laquelle la DGSN a signé un marché de fourniture et qu’il avait un lien de parenté avec ce dernier, Oultache clame qu’il n’était pas au courant que son parent travaillait au sein de la société en question. Or, le président lui rappela que le cadre supérieur de ABM ( Sator) avait animé plusieurs conférences au sein de la DGSN au titre de responsable de la firme incriminée.
    Le procureur l’a également interrogé sur la passation d’un marché de gré à gré et ce, en violation du code des marchés publics. A un moment de son interrogatoire par le président, Oultache excédé s’exclama : «la police judiciaire a mis une année pour monter un dossier contre moi pour que je sois condamné à mort dans un autre dossier, de même que cette police judiciaire voulait mettre à l’écart des cadres qui leur posent des problèmes.». Lorsqu’il évoque «un autre dossier», le prévenu fait allusion à l’assassinat de Ali Tounsi, anciennement directeur général (DG) de la Sûreté nationale. L’accusé a choisi de nier tous les griefs qui lui sont reprochés.
    Le second accusé appelé à la barre est Yahiaoui Abdelmadjid, officier supérieur de police et ingénieur d’Etat en électronique. Il est accusé de passation illégale de marchés publics, de détournement de biens publics, d’abus d’autorité, d’attribution de privilèges non mérités. Il comparaissait libre mais il avait écopé, au procès en appel auprès du tribunal d’Alger, de 5 ans de prison ferme.
    Bien entendu la première question du président concernait la présidence de cette fameuse commission de la modernisation de la DGSN. «Comment se fait-il que vous êtes le président légal de la commission technique de modernisation de la DGSN et que c’est Oultache Choaïb qui la dirige.» «La note ne m’a été ni remise ni notifiée. Je suis un simple membre de cette commission comme les autres membres.» «À quel titre vous signez le PV des réunions ?», questionna le président. «Comme simple membre.»Il y a lieu de signaler la défection de la sono de la salle d’audience compliquant la tâche aux journalistes. Par ailleurs, la séance a été suspendue vers 13 heures.
    Elle se poursuivra dans l’après-midi et risque de durer toute la nuit.
    Abachi L.
  • ALILOU - Samedi 30 Mai 2015 11:28
    Des promoteurs binationaux invités à Boumerdès
    L’investissement à l’ordre du jour


    Les hôtes de Boumerdès ont débattu des problèmes rencontrés dans la mise en œuvre de leurs projets

    Les hôtes de Boumerdès ont débattu des...

    Des rencontres sont organisées pour encourager l’implantation en Algérie de projets d’investissement portés par des binationaux.

    La volonté d’investissement et de partenariat existe. Ce qui nous manque, ce sont les espaces de rencontre et de concertation, un cadre pour canaliser les énergies». Tel est le constat fait par de nombreux jeunes entrepreneurs algériens et franco-algériens lors d’une série de rencontres qui ont eu lieu du 23 au 25 mai au complexe Le Rocher, à Boumerdès. Ce regroupement, le premier du genre à l’échelle nationale, a été organisé par l’Association nationale des échanges entre jeunes (ANEJ) et en collaboration avec l’association Maison de l’Algérie qui active en France.

    Cette initiative a été une opportunité pour échanger les expériences des uns et des autres et détecter les chances de partenariat entre porteurs de projets des jeunes deux rives de la Méditerranée. L’ANEJ fait état de 1900 porteurs de projets détectés, dont 300 ont été accompagnés par l’association. Mais seulement 30 projets ont bénéficié de financement.

    Les intervenants n’ont pas manqué de relever les nombreuses difficultés auxquelles ils sont confrontés. Du côté algérien, les promoteurs ont déploré le manque d’accompagnement et la complexité des démarches administratives pour concrétiser leurs projets sur le terrain. «Les décisions portant l’octroi d’un quota de 20% des projets d’opérateurs publics aux micro-entreprises de jeunes ne sont pas appliquées», a précisé le président de l’Anej, M.Sahel.

    Pour les binationaux, les problèmes ne résident pas en haut lieu, mais au niveau des services administratifs locaux devant œuvrer pour la promotion des investissements. Ismaïl Chaoua, PDG du groupe I.Net spécialisé dans le nettoyage industriel et la production des produits de nettoyage biodégradables, affirme avoir frappé à toutes les portes pour s’installer en Algérie. En vain. «Notre groupe emploie plus de 200 personnes en France. Nous exportons vers les pays du Maghreb. J’ai voulu réaliser une unité de fabrication en Algérie pour y créer des postes d’emploi, de la richesse et faire profiter mes concitoyens du savoir-faire acquis dans le domaine.

    Malheureusement, les démarches n’étaient pas faciles. En 2013, j’ai tenté de m’installer dans l’Est algérien, à Annaba, mais on a eu beaucoup de difficultés avec les autorités locales. Finalement, le projet est tombé à l’eau car toutes les portes étaient fermées devant nous», regrette le promoteur. Face à ces contraintes, Ali Sahel se dit prêt, à travers l’association ANEJ, à accompagner les jeunes binationaux qui veulent venir investir en Algérie. «On veut bien connaître leurs préoccupations et être leurs interlocuteurs vis-à-vis des autorités», assure-t-il.

    Cependant, la bonne volonté ne suffit pas. «La décentralisation de la décision dans le secteur de l’investissement n’est pas encore à l’ordre du jour. Il reste des réticences et des réserves. D’ici là, nous souhaitons être un facilitateur pour les investisseurs binationaux», dira le président de l’ANEJ, estimant que rien n’est encore entrepris pour inciter la diaspora à venir investir en Algérie.


    Omar Arbane
  • ALILOU - Dimanche 31 Mai 2015 22:58
    Louiza hanoune appelle BOUTEF a faire fin au parcour CATASROPHIQUE DE L'ECONOMIE ALGERIENNE.

    M3AMEN RAKI TAHEDRI YA LOUIZA RAKI RETARD :whistling:

    A voir

    جرنان القوسطو ربيع 2015 الحلقة السابعة عشر - Djornane El Gosto 2015 EP 17
    DZ Tube+4


    ALLAH IJIB ALKHEIR YA BELKHEIR.

    SAHA RAMDANKOUM ET AU REVOIR.
  • MIMIH - Mardi 11 Août 2015 23:13
    Notre nouveau WALI madame ZERHOUNI est installéz par des parlementaires et non pas par le ministre de l'interieur comme est la coutume.
    On est pas a tlemcen.
  • MIMIH - Vendredi 8 Janvier 2016 22:18
    ALORS QUE LE RND RÉCUPÈRE L’APC DE BOUMERDÈS

    Le sénateur et les députés du FFS organisent un sit-in au siège de la mairie

    Haroun Hocine, le sénateur FFS nouvellement élu à Tizi-Ouzou, les députés de Boumerdès et de Tizi-Ouzou, le secrétaire national chargé de l’organisation Abderrahmane-Sadek, 2 vice-présidents de l’APW de Boumerdès, le fédéral de Boumerdès, le maire de Laâziv Boualem Chemala et d’autres élus du même parti dans d’autres institutions de Boumerdès ont observé hier après-midi un sit-in dans la cour de la mairie de Boumerdès.
    «Nous sommes ici pour dénoncer l’arbitraire et la décision du wali Yamina Zerhouni suspendant le maire FFS, Sid Ali Aït Si Larbi.» C’est ce que nous a déclaré le fédéral de Boumerdès, Arezki Chabane. Hors de la cour du siège de la commune, un nombre de policiers anti-émeute ont été déployés. Un officier de police a demandé aux présents, exceptés les députés et le sénateur, d’évacuer les lieux. Les protestataires ont refusé de bouger. Par ailleurs, le fédéral nous a remis la copie du communiqué rendu public par la fédération de Boumerdès. «La fédération du FFS de la wilaya de Boumerdès dénonce énergiquement la décision de madame Zerhouni portant destitution du président de l’Assemblée populaire communale de Boumerdès pour non dénonciation d’un délit commis par un agent communal», lit-on dans ce communiqué qui précise, de plus, qu’au moment des faits, le maire incriminé était en congé annuel. Il accuse, en outre, le wali d’avoir agi «de manière irresponsable et montre une légèreté et une gestion hasardeuse des collectivités locales et des affaires publiques.» Dans la matinée, nous avons tenté de joindre l’un des hauts responsables de la wilaya de Boumerdès au sujet de cette affaire. On nous a répondu par des sources informelles que cette affaire est menée conformément à la réglementation en vigueur et que la suspension du maire sera mise à exécution à la suite d’une décision de justice portant mise en accusation du concerné. A noter qu’avant-hier, le chef de la daïra de Boumerdès a, selon nos informations, tenté dans l’après-midi de réunir l’assemblée pour faire élire le nouveau maire. Ali Laskri, député et membre de la présidence du FFS qui était de passage pour rendre visite à son camarade du parti s’y est opposé avec fermeté. Finalement, le même chef de la daïra de Boumerdès a réuni, hier en fin de journée, l’assemblée qui compte 19 représentants pour élire le nouveau maire mettant ainsi à exécution la décision du wali. C’est le RND, par le biais de l’un de ses élus qui récupère la présidence de cette municipalité. Djamel Baouali, chef de service état civil de la commune a battu le candidat du FLN, par 10 voix contre 6. Deux bulletins sont comptabilisés comme nuls. Ce dossier nécessite d’autres explications. Nous y reviendrons avec plus de détails.
    Abachi L.
  • MIMIH - Jeudi 6 Octobre 2016 22:00
    Wilaya de Boumerdès
    Anarchie dans les crèches

    Des crèches sont ouvertes dans des conditions non conformes...

    Le fonctionnement de la plupart des crèches échappe au contrôle de l’Etat.


    La wilaya de Boumerdès connaît un grand déficit en crèches et garderies de la petite enfance. Le programme portant la dotation des communes de la région par ce genre de structures n’a pas donné des résultats probants. Aujourd’hui, des milliers de couples ne trouvent pas à qui confier leurs enfants le matin pour se rendre à leur travail. Si certains les laissent chez les proches ou les grands parents, d’autres les confient aux voisins ou à des femmes au foyer qui ont fait de «la garde d’enfants un métier». Cette activité, qui a pris de l’ampleur ces dernières années, échappe totalement au contrôle de l’Etat.

    Selon la Direction locale de l’action sociale (DAS), la wilaya compte 77 crèches et/ou centres d’accueil de la petite enfance qui sont opérationnels. Ces établissements accueillent plus de 6000 enfants. Trois crèches, à savoir celles se trouvant à Thénia, Baghlia et Larbatache, ont été réalisées par l’Etat avant d’être cédées en 2015 par adjudication aux privés à des prix variant entre 1 et 2 millions de dinars. Les autres structures appartiennent à des particuliers, mais la plupart ne respectent pas les cahiers des charges et les engagements faits avant l’obtention de l’agrément.

    A Bordj Menaïel, des garages aménagés et des appartements font office de crèches, témoigne un parent qui dénonce l’absence de contrôle. «Vu leur manque, certaines structures reçoivent le double du nombre d’enfants qu’il en faut comme c’est le cas à Boumerdès et Boudouaou. D’autres activent sans aucun agrément et manquent d’hygiène, de sanitaires et d’encadrement», révèle un membre de la commission sociale et culturelle de l’APW.

    Cet élu, qui a participé récemment à une enquête sur la situation des crèches de la région et leur fonctionnement, se dit surpris par l’anarchie qui règne dans ce secteur. «Outre leur exiguïté, de nombreuses garderies emploient des éducatrices sans aucune qualification et non déclarées à la sécurité sociale, comme c’est le cas à Boumerdès, Corso, Thénia, Cap Djenet, Khemis El Khechna, etc.», a-t-il précisé. Encouragés par la concurrence déloyale, la pluparts des gérants de ces structures ne sont attirés que par le gain qu’offre ce créneau, mais rarement par le confort de la petite enfance.

    «La plupart pratiquent des prix exorbitants allant de 5000 à 7000 DA pour des prestations ne permettant guère l’épanouissement des enfants. Malgré cela, leurs établissements sont très sollicités par les couples à revenus moyens», affirme notre interlocuteur. Les parents ne savent plus à qui se plaindre. «Je travaille à l’INPED et ma femme est enseignante à l’université. Nous avons deux filles de 3 et 5 ans. Cela fait deux ans qu’on les emmène à la crèche sise à la cité Coopérative qui accueille une soixantaine d’enfants.

    Quand je pars récupérer mes fillettes le soir, je les trouve parfois endormies à même le sol et se plaignent de n’avoir rien mangé», confie Yakoub, qui se demande où sont passés les services de contrôle. Le hic est que la délivrance d’agrément pour l’ouverture de ce genre de structures se fait par une commission ad hoc de la wilaya après une enquête approfondie sur la moralité du demandeur et la conformité de la structure. Néanmoins, ces enquêtes, qui durent parfois plus d’une année, n’ont jamais été accompagnées par des sorties d’inspection et de contrôle sur le terrain pour mettre en demeure les contrevenants et les obliger à respecter la réglementation en vigueur.



    Kebbabi Ramdane