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  • Koukouh - Friday 3 August 2018 21:36
    [reply=54119]un ami[/reply] Il y a Said GARRINCHA sur la photo
  • un ami - Friday 3 August 2018 19:03
    Les gentlemans menervillois pendant les années chocs.
  • Slimane. - Saturday 31 December 2016 21:51
    Si, l'info est vraie, il me reste, malheureusement, qu'à présenter mes condoléances les plus sincères à la famille Abdiche. Paix à son âme.Allah yerahmou. A Dieu nous appartenons et à Lui nous revenons.
  • Slimane. - Saturday 31 December 2016 21:37
    Une photo touchante et belle à la fois. La photo nous rappelle Ménerville, Thénia d’antan mais aussi des êtres que nous avons perdus. La bande des quatre: feu Moh Bourahla, le fougueux, en «Gian Maria Volonté» et Mamane Abdiche (Aflelou ne l'aurait pas lâché pour ses lunettes )...
    Quand les mots ne (nous) parviennent, le regard s’en fait le porte-voix. Et ce regard, sans souci, de Mamane en dit long sur le bien-être de la jeunesse d’antan. En camping, les cheveux au vent nos jeunes, écoutant le bruit des vagues, qui viennent s’éteindre sur le sable,respiraient la simplicité et la bonne humeur.
    Chaque génération vante son époque; mais ce n’est pas rester dans le passé que de se rappeler les souvenirs et des événements d’avant. La vie de cette jeunesse, insouciante, rimait avec joie de vivre et partir ailleurs n’était même pas envisageable. Ils aimaient la mer. Et, plouf les plongeons et les brassées. Qui aurait, alors, pensé qu’un jour leurs semblables décideraient de nager pour rejoindre des pays lointains et fuir les siens ?
    Et puis…«la mer a pris l’homme» !!! Oui, car entre temps, certains esprits se sont nécrosés. Et d'autres, encore, se sont mués en corsaires, naviguant à vue, ont fini par pousser, par vagues, des jeunes algériens à la mer… Mais ça, c’est une autre histoire, bien loin de la spontanéité des gens du temps d’avant.
    J’ai connu, dans ma jeunesse, Mamane. Il nous arrivait de papoter avec lui, entre voisins, c’était un véritable gentleman. Mais un jour, bien mal m’a pris de l’appréhender dans la cour du CEM Rod, Mamane devenant Surveillant. Figurez-vous que j’ai reçu une volée de mots, pas à dire entre voisins. Mamane dans sont travail, c’est un autre Abdiche. Rigoureux, sévère même !
    Quelques jours après, voilà que je le croise dans la rue du stade, pas loin de chez lui. J’ai changé de trottoir, dare dare, par respect. Instantanément, Mamane me fît un geste amical et me lança « tu peux retourner chez toi, Mme Lassel ne viendra pas cet après-midi. Tu as le temps d’aller à El Hadjra (c’était notre Maracana)» !!!
    C’est tout Mamane !