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  • Abdel - Wednesday 5 September 2018 22:56
    Bonjour celui qui control fait des affairs en vendant le matériel des chinois pour son compte
  • MIMIH - Friday 20 November 2015 18:13
    Cité sans commodités dans la wilaya de Boumerdès
    Grogne des résidants à Si Mustapha

    Des cités livrées sans équipement public

    Des cités livrées sans équipement public

    Certaines écoles primaires du chef-lieu fonctionnent avec plus de 70 élèves par classe.

    Ce qui était redouté à Si Mustapha, à 20 km à l’est de Boumerdès, a fini par se produire. Les trois écoles du chef-lieu communal n’arrivent plus à contenir le flux d’élèves généré après l’affectation des logements de la cité des 1588 Logements. Erigée sur un site qui abritait déjà 410 appartements habités, la cité en question n’est dotée d’aucune structure publique et 500 nouveaux logements ont été distribués aux habitants de Si Mustapha. Le reste, soit 1000 appartements, a été octroyé, il y a un mois, aux occupants de bidonvilles de la capitale.

    Mais la joie des résidants a aussitôt cédé la place à la déception. «Il n’y a rien ici. Pas même une aire de jeu. Nos enfants suivent les cours au niveau des écoles du chef-lieu où le nombre d’élèves dépasse 70 dans certaines classes. Est-ce normal», s’interroge Mayassi El Hadj. Ce père de 3 enfants a vécu 17 ans dans un taudis au site El Ramli à Alger. «Je suis originaire de Bordj Khris, dans la wilaya de Bouira. Avant de bénéficier d’un F3 ici, on nous a rassuré que la cité est dotée de toutes les commodités. Finalement, ce n’était que du bluff», maugrée-t-il.

    Employé à NetCom, Mayassi affirme avoir été obligé de prendre un congé d’un mois pour pouvoir emmener ses enfants à l’école. «Je les accompagne, car je crains qu’ils ne se perdent en cours de route», justifie-t-il. Il y a une semaine, de nombreux parents ont protesté contre la surcharge des classes et le système de double vacation pratiqué dans les trois établissements primaires du centre-ville. «Certains élèves étudient deux heures par jour à cause du manque de salles.

    Cela fait plus d’un mois qu’on nous a promis d’ouvrir le nouveau lycée et de réserver certaines salles pour les élèves du cycle primaire, on attend toujours», s’indigne un parent. Dépassés par l’ampleur du problème, les responsables locaux n’ont trouvé mieux que d’ouvrir trois classes au niveau du CFPA de la ville.

    Le maire précise que la population de la commune passera bientôt de 12 000 à 20 000 âmes environ. Un véritable et brusque boom démographique dont les conséquences seront difficiles à gérer. La cité en question n’est qu’un assemblage de blocs d’habitations. «On a voulu la réaliser ici sous prétexte qu’il n’y pas de terrains à Alger. Or, le projet est implanté sur un terrain à vocation agricole. Ce qui est contraire aux orientations du Schéma d’aménagement du territoire», rappelle un élu.

    Hormis le lycée qui a connu d’énormes blocages, aucun édifice public n’est visible sur les lieux. Les deux écoles primaires et le CEM sont en phase de démarrage. «Notre cité est dépourvue d’un centre de soins de proximité», déplore Maâloumi Alioaut, 42 ans venu du bidonville Bateau cassé. Le bureau de poste et le service d’état civil, annoncés par l’ex-wali de Boumerdès et le wali d’Alger lors de leur visite sur le site en mai dernier, se font toujours attendre. Même l’accès est devenu très difficile à cause du flux de véhicules et des bouchons au centre-ville.
    Les enfants, eux, n’ont aucun espace de jeu. «J’ai vécu six ans au Bateau cassé. Il est vrai que c’est un bidonville, mais tout était disponible à trois pas de la maison», avoue Chahinez, une collégienne au CEM Aichaoui, dans une classe de 54 élèves.


    Kebbabi Ramdane
  • ALILOU - Monday 8 June 2015 17:21
    GALEK

    Même les TURCS croient au chiffre 3 GALEK MERBOUH

    A la visite du ministre TEBOUNE 3 moutons égorgés a son honneur par une société turs de réalisations des bâtiments, on voit ce phénomène pour la 1 ere fois, fi khater le ministre de l'habitat .:whistling:
  • ALILOU - Thursday 30 April 2015 20:11
    Le nouveau PDG le AADL déclare que les souscripteurs de AADL 1 et 2 seront convoqué en même temps pour payer la 2 tranche et AADL 2 n'auront leur appartements que si le programme de l'aadl 1 seront logé.
    C'est a dire LI DARE FI 2001/2002 peut être IJI WAHED TA3 2013 3andou AKTAF YEDI OU HOUWA YESTENA.

    Pour moi HADI HIA.

    SINON LIKIDI TA3 201/2002 APRES C'EST LE TOUR DE 2013.
  • Bled Mickey - Friday 12 December 2014 17:04
    :moqueur:Entouma eli habitou ya3afsou a3likoum wedzidou etgoulouhoum esemhouli.:d_clap_20: Echah fikoum yawled ebni oui oui. 54 ans après d´indépendance mazel makhlasous les anciens moudjahidine la liste ghir tekber bech eyfarghou la caisse enta3 el Djazair em3a eshabhoum el 3askar. Nass bekri galou: "ELI DHARBATOU YEDOU MA YEBKI":thumbup:
  • saraha raha - Friday 12 December 2014 10:29
    Pour eux c est un droit absolut leurs fils ,femmes , filles, ect....mais pour nous on attend un siecle que une personne de toute une grande familles de 12 percoit 2pieces cuisine l autre il a des appartements ailleurs a Paris, London ou en suisse et la double nationalité ou une residence mais nous T´Hale Foumek TELGA rouhek fi ???? alor mes amis nous sommes tous des pauvres malheureux Fi Bladna Hasbouna allah oua na3mou el wakile Ana Personnelement ma NESMAHCH DENYA WA AKHIRA NWAKEL A3LIHOUM REBI pcq Makdernalhoumch avec leurs KHOBTHE et HILA
  • MIMIH - Thursday 11 December 2014 20:09
    Le fils du wali d’Alger obtient illégalement un logement de type AADL

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    Hamza Zoukh, fils du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, a obtenu un logement aidé de type AADL à Ouled Fayet, Alger, en violation des procédures mises en place par l’agence, rapporte, dans son édition de ce jeudi 22 mai, le journal Ennahar.

    Selon le journal, qui publie des documents, la décision de l’octroi du logement porte le numéro 758. Elle date du 5 janvier 2014, soit deux mois après que Abdelkader Zoukh soit désigné wali d’Alger. Cette décision a été signée par Lyes Benidir, directeur général de l’AADL.

    Selon le document publié par Ennahar, le fils du wali a obtenu un appartement « VIP » de quatre chambres au premier étage du bâtiment « E1 » à Ouled Fayet, alors que son lieu de résidence est dans la wilaya d’Oran. Le DG de l’AADL a reconnu avoir « reçu des ordres pour signer le document », précise la même source. Il explique qu’il « est libre d’octroyer les logements comme bon lui semble et que personne n’a le droit de se mêler des prérogatives que lui a données le ministre de l’Habitat ».

    Lyes Benidir a, toutefois, reconnu que la loi interdit d’octroyer un appartement sans un acte de résidence et que les logements situés au premier, deuxième et troisième étages sont octroyés, seulement, aux malades, handicapés et personnes âgées. Il confirme également qu’un habitant d’Oran ne peut, en aucun cas, bénéficier d’un logement à Alger.

    Contacté par TSA, le DG de l’agence AADL n’a pas voulu s’exprimer sur la question. « Adressez-vous au ministère de l’Habitat », s’est-il contenté de dire. Nous n’avons pu obtenir aucune réponse du ministère de l’Habitat, ni de la wilaya d’Alger.

    Avant l’élection présidentielle, le wali d’Alger avait lié l’octroi de logements sociaux aux plus démunis à la présentation de la carte d’électeur. Il a fini par renoncer après la présidentielle.