Tu n es pas le seul qui te manque mon ami à chaque fois que je pense à lui j ai les larmes aux yeux mon plus grand regret c'est est de pas l avoir vu ,avant son deces j'ai un peu tardé en route plus un bouchon au niveau de hydra ,El mektoub l'a voulu ainsi,pour moi s' était un guide à chaque que je bloquais sur un problème j'appelais mon ami il m orientait avec sa modestie il fesait de tel sorte qu' à chaque il me donnait l impression que c'est qui a trouvé la solution ,avec ses paraboles ses anecdotes.toujours disponible ,le petit détour qu il fesait rien que pour boire un café avec lui avec ses responsabilités il avait toujours du temps pour ses amis pédagogue jusqu'au bout des ongles il me manque .repose en paix mon ami.
guest
- Monday 26 November 2018 17:31
[reply=54572]A certains profs[/reply] djib dalile ouchara mat khafche menhoum avec des preuves a l appuis j irai plus loin meme si la justice a deux visage j irais
A certains profs
- Sunday 25 November 2018 15:21
Voila exemple d'un vrai prof mais maintenant c'est la catastrophe surtot au CEM ROD annee passe une eleve nul elle doive refut annee mais comme elle a une parente prof au niveau de ce CEM elle a etait admise c'est au debut de annee que certains profs qui sont etonne que cette eleve est admisse et le probleme que parmis qui ont refut annee mon fils qui as eu la moyenne des trois trimestre mieux que cette eleve parceque je n'ai pas un parent au CEM la plus grave ce que j'ai entendu d'un parent eleve en 4 annee certains profs disent aux eleves venus faire des cours chez nous ils veulent de argent et non les inetrets des eleves avant d'entrer au devoir d'une matiere ma cousine a enttendu de parler discretement du sujet a exterieur du CEM et c'etait le sujet qui l'on traite elle est en 4annee c'etait deux filles qui ont parler de ce sujet
Guest
- Saturday 24 November 2018 22:07
J'ai fait exprès de choisir la photo de notre grand ami Djillali Boutiche qui nous abreuvait de ses merveilleux écrits pleins de morale. Hélas, il nous a quitté et a laissé un immense vide dans notre site. Repose en paix, mon ami. Certains jeunes et peut-être beaucoup d'entre eux se plaignent souvent de la Mal-vie dont il font l'objet. J'aimerai bien qu'ils lisent cet article écrit par Monsieur BELAID Mokhtar que j'ai repris du quotidien LE SOIR D’ALGÉRIE. C'est vrai que l'histoire se passe à Béjaia mais elle peut être vécue dans n'importe quelle ville ou village de notre Pays, lisez-le ya les jeunes: [b]Assis comme d’habitude sur son banc préféré au square d’El Khemis, Bachir lisait tranquillement son journal quand trois jeunes s’installèrent près de lui. Ils le saluèrent et commencèrent à palabrer, empêchant ainsi leur voisin de se concentrer sur sa lecture. Il plia son quotidien, le déposa sur ses genoux et attendit patiemment leur départ pour se remettre à lire.
Il patienta pendant plus de trente minutes sans rien dire, mais quand il entendit un des adolescents prononcer la phrase «le bon vieux temps», il sortit de ses gonds pour questionner le blanc-bec.
- De quel vieux temps veux-tu parler mon garçon ?
- De celui de mon père et de mon grand-père, ils disent qu’avant c’était mieux.
- Ils doivent vivre sur une autre planète que la mienne, car moi qui viens de boucler mes soixante-dix ans cette année, et je ne l’ai jamais connu ce bon vieux temps.
- Sauf votre respect Monsieur, il n’y a pas que mes parents qui regrettent la période d’après-l’indépendance.
- Ce sont de fieffés menteurs, je vous le confirme et si vous avez du temps à me consacrer, je vais vous faire vivre ce bon vieux temps comme si vous y étiez.
- Nous sommes tout ouïe cheikh, répondirent les trois jeunes en chœur.
- Ouvrez vos oreilles et allons-y pour cette visite guidée et un flash-back.
«En 1962, j’avais quatorze ans, ce que je portais sur le dos et aux pieds me fera passer pour un clochard d’aujourd’hui, mon pantalon était rapiécé devant et derrière, mon pull bouloché et mes sandales en nylon trouées laissaient apparaître mes grands orteils.
A cette époque, je passais inaperçu, puisque les jeunes de mon âge étaient habillés comme moi, à se dire que la pauvreté était contagieuse. Les riches que je connaissais se comptaient sur les doigts d’une seule main, alors qu’aujourd’hui, il est pratiquement impossible de les dénombrer.
Question nourriture aussi, si vous invitez un mendiant et que vous lui servez la nourriture que j’étais obligé d’ingurgiter sans piper mot, il vous la jetera à la figure avant de détaler et de ne plus jamais s’approcher de votre porte. Il conseillera même à ses compagnons de rue d’en faire autant !
La nourriture d’une journée standard se résume à : un petit-déjeuner composé de café mélangé avec une cuillère de lait concentré, un bout de pain (il était précieux à l’époque pas comme aujourd’hui où toutes les poubelles en regorgent) ou d’une boulette de semoule (aâsbane en kabyle) de la veille.
A midi, dans ma soupe ne flottent que des morceaux de navet et deux ou trois de pomme de terre. Quand j’arrivais à en choper un avec ma fourchette, je le gardais un petit moment dans la bouche afin d’en savourer la consistance et le goût. Au dîner, le menu se composait d’un des plats suivants : aâsbane, couscous, berkoukes (sorte de gros grains de couscous) ou aftir ou qassoul (de longs rubans de pâte) et cela en boucle durant toute l’année.
Mon père apportait de la viande ou du poulet, jamais les deux à la fois, qu’une fois par mois, même les œufs étaient un luxe chez nous. Pour en avoir trois ou quatre pour moi seul, il fallait que j’attende le début du printemps quand ma mère nous préparait, comme tous les ans, un couscous cuit à la vapeur n uderyis, des racines aux mille vertus thérapeutiques qu’on appelait le vaccin kabyle. Ce plat est délicieux avec plein de fèves sèches, de pois chiches et une couche de sucre glace qui recouvre le tout, mais comme cette plante est toxique, interdiction de boire durant douze heures après le repas. Seule une orange est permise pour étancher la soif.
Après avoir brièvement survolé l’habillement et la nourriture, je passe à l’électroménager et aux ustensiles de cuisine préhistoriques de l’époque. Nous n’avions pas d’électricité donc pas de réfrigérateur ni de congélateur ; quand il nous restait un peu de viande après l’Aïd El Adha, on en faisait du qadide, on la salait et laissait sécher. C’était notre unique moyen de conservation. Comme gasinière, nous ne disposions que d’un réchaud à pétrole qu’il fallait amorcer avec de l’alcool à brûler et user de la pompe située sur son flanc durant un bon moment avant de voir apparaître la flamme. Pour ceux qui habitaient la campagne, la cuisson se faisait au feu de bois.
Le soir, c’est à la lueur d’un quinquet, kenki (lampe à pétrole) ou de bougies que je dînais et faisais mes devoirs.
En hiver, quand il fait un froid à vous geler le sang, je n’avais que le kanoun (une sorte de pot de fleurs en argile) pour me réchauffer. Il fallait que je me fasse une place entre mes frères et sœurs. Nous restions serrés, collés les uns aux autres pour tirer un maximum de chaleur de cette insignifiante source d’énergie. Le charbon de bois nous servait de combustible. Il se dégageait une fumée noirâtre qui brûle les yeux et irrite la gorge. En ce qui concerne les loisirs, nous n’avions que trois cinémas pour toute la ville ; lorsqu’un film intéressant est projeté, c’est le rush vers le guichet. Il fallait avoir des biscoteaux pour se procurer un billet ou avoir les moyens d’acheter son ticket au marché noir. J’ai raté plusieurs péplums et westerns à cause de cela.
Pour voir une rencontre de foot, c’était pareil, il n’y avait que le stade Benallouache à Béjaïa. Pour les fauchés comme moi, deux solutions s’offraient à nous : sauter par-dessus le mur au risque de tomber entre les mains des vigiles et se faire tabasser, ou attendre la mi-temps quand l’entrée devient gratuite.
La télé n’a fait son apparition chez nous que vers les années soixante, seuls certains commerçants pouvaient se payer cette merveilleuse petite lucarne. Je me rappelle avoir suivi la Coupe du monde 1970 au café Belhoucine assis sur un banc fabriqué avec un madrier posé sur des parpaings. Nous étions tellement nombreux que le patron des lieux a été obligé de sortir la boîte magique dehors. Je me souviens que le score final entre le Brésil et l’Italie était de 4 à 1 en faveur de l’équipe de Pelé.
Rares sont les familles qui possédaient le téléphone. C’était la galère pour communiquer, il fallait à chaque fois se déplacer. Dans le domaine de la santé aussi ce n’était pas la joie. Pour les circoncisions de mes frères et moi, mon père faisait appel à Mohand Oulouâar, il arrivait avec ses ciseaux et directement couic, et cela sans anesthésie, juste du mercurochrome, un peu de poudre blanche, une compresse et un pansement sur la plaie et au revoir ! On souffrait durant des jours souvent en silence.
Quand une dent nous empoisonnait la vie et qu’on voulait s’en débarrasser une bonne fois pour toutes, on évitait de se rendre au cabinet du seul dentiste de la ville qui avait la réputation d’être un vrai tortionnaire ; de plus, il fallait payer pour le supplice subi.
On préférait confier notre mâchoire à Ahmed ou Moussa, un grand monsieur à la carrure imposante, qui tenait une épicerie sur la route menant à Houma Oubazine, ce dernier nous faisait asseoir entre ses jambes et à l’aide de sa pince, seul instrument en sa possession, tel un prestidigitateur, il arrivait à nous soulager sans trop nous martyriser et cerise sur le gâteau, c’était gratuit.
Lorsqu’on tombait malade, comme il n’y avait pas beaucoup de médecins, trois ou quatre pour toute la ville, les salles d’attente étaient toujours archicombles, on attendait durant des heures, souvent assis par terre quand toutes les chaises étaient occupées, avant d’espérer voir le docteur.
Passant aux moyens de transport de l’époque. Pour voyager, il fallait avoir les reins solides et s’armer de patience. Je me souviens que pour me rendre à Amizour, à vingt-cinq kilomètres de Béjaïa, je choisissais toujours celui d’Ouallouche pour l’unique et simple raison qu’il était le moins cher, mais aussi le plus vétuste. Le receveur entassait ses voyageurs comme des sardines, il acceptait à l’intérieur de cet ancêtre des bus de petits animaux tels que des chevreaux, des agneaux, de la volaille, des sacs de blé, d’orge, des bidons d’huile d’olive… Cet ensemble hétéroclite ressemblait à un véritable capharnaüm.
C’est en brimbalant et le moteur toussotant et crachotant comme s’il allait rendre l’âme que le démarrage se faisait. La route étant parsemée de nids-de-poule, et comme l’engin dans lequel nous nous trouvions était dépourvu d’amortisseurs c’était les dos en compote qu’une heure trente plus tard, durée du voyage, que nous descendions enfin de cet épouvantable engin roulant.
Pour ceux qui rêvaient d’horizons lointains, pas besoin de visa ; d’ailleurs, il n’existait pas encore pour se rendre en France, il suffisait de s’inscrire au bureau de main-d’œuvre, là-bas ils avaient besoin de bras vigoureux pour des travaux de forçats. Tous les métiers pénibles et rebutants étaient réservés à nos compatriotes.
Pour les arrivants dans l’Hexagone, c’était boulot, métro, dodo. Dans des chambres minuscules où on s’entassait à quatre ou huit personnes, les harassantes besognes qui leur étaient désignées, les toilettes, douches et cuisines collectives et le froid auquel ils n’étaient pas habitués a forcé les moins téméraires à prendre le bateau en sens inverse pour revenir au bled. C’était le cas de Mamou, Rabah, Messaoud et beaucoup d’autres. Après vous avoir fait un topo sur la gent masculine et le bon vieux temps dont ils jouissaient, je vais passer à celui de la gent féminine. A l’époque, respectueuses des us et coutumes, presque toutes les femmes et même des grands-mères de plus de quatre vingts ans, lorsqu’elles sortaient, camouflaient leurs formes en portant le haïk (voile traditionnel algérien de couleur blanche) qui les couvrait de la tête aux pieds et cachaient leur visage en laissant apparaître les yeux, c’était l’aâjar avant toute sortie dehors. Pour nous les hommes, seuls les yeux et une petite mèche de cheveux parfois laissée libre nous permettaient de nous faire une vague idée sur la beauté de la dame. Il arrivait que cela engendrait des mésaventures cocasses. Mon oncle Mouloud, un dragueur invétéré, a eu la honte de sa vie à cause du fameux aâdjar. Un jour qu’il croyait avoir eu une touche avec une belle demoiselle, il s’est mis à la suivre et l’embêter avec son baratin habituel. Arrivé au coin d’une rue, la jeune fille s’arrêta, fit face à son harceleur et d’un geste rageur enleva le voile qui lui cachait le visage. C’était sa tante Salima. Si la terre pouvait s’ouvrir à cet instant-là, il aurait volontiers accepté qu’elle l’engloutisse. Il fut durant plusieurs jours la risée de toute la famille.
La ségrégation était telle que lorsqu’ un étranger est invité à l’intérieur d’une habitation, il fallait qu’il soit obligatoirement accompagné par un guide de sexe masculin qui a pour mission de crier à haute voie trâk !, ce qui voulait dire ouvrez le passage, et ce, dès la porte d’entrée principale franchie. Cet ordre tonitruant lancé, toutes les femmes et jeunes filles se trouvant dans les parages doivent se cacher pour ne pas être vues par l’inconnu. J’ai toujours eu beaucoup d’admiration pour ces femmes vertueuses et courageuses, car il fallait avoir du cran pour accoucher à la maison en étant simplement guidées par une belle-mère ou une voisine, sans faire trop de chichi.
Il me faudra des heures et des heures pour énumérer tous les exploits de ces héroïnes qui ont beaucoup souffert des machistes que nous étions. Je ne vais pas vous retenir plus longtemps les jeunes, merci de m’avoir prêté l’oreille et avant de nous quitter, je peux vous certifier qu’avant l’indépendance c’était pire. Mon grand-père ma raconté qu’il se fabriquait lui-même ses chaussures (arkacènes en kabyle) en prenant un bout de pneu sur lequel il cousait des peaux de bêtes et que pour le pain il était obligé de mélanger de la farine de glands à celle de l’orge pour que les membres de sa famille arrivent à calmer la faim qui tenaillait leurs entrailles. Sachez aussi que l’espérance de vie en ces temps-là n’était que de 47 ans, alors qu’aujourd’hui elle est de 76 ans en Algérie.
Avant de s’en aller, un des trois jeunes dit à Bachir : «Monsieur, notre professeur d’histoire nous répète sans cesse qu’un vieux qui meurt, c’est comme une bibliothèque qui brûle ! Et bien, c’est aujourd’hui que je viens de saisir la signification de cette sentence. Je vous souhaite donc très, très longue vie.»[/b]
J'AIME MA VILLE THENIA
- Sunday 11 November 2018 14:26
allah yerahmou c vrai que c une perte ina lilah wa ina ilayhi radjiaoune allah yarahmou wa mathwah al djana inchallah
guest
- Tuesday 6 November 2018 10:32
[reply=54529]Slimane.B[/reply] Un vide incommensurable qui nous oblige à se souvenir de ce grand monsieur dont les textes nous caresser l'esprit par sa simplicité et son ineffable inspiration. Rabbi yer7mou inchAllah !
Slimane.B
- Sunday 4 November 2018 21:01
Tu nous as habitués à lire goulûment tes textes. Nous les attendions comme le journal du samedi matin avant l'Internet. On a l'impression que cet espace est laissé en jachère! Tu étais ce luminaire puissant qui s'est subitement éteint nous laissant immanquablement dans le noir. Ces pages "ahmadiennes" se souviennent toutes de ton empreinte indélébile. Tes posts poétiquement sensés étaient une source lumineuse qui nous éclairait pour toujours. Adieu mon Ami mon Maître, pour paraphraser Lama. Paix à ton âme.
Un menervillois qui a la pureté du coeur
- Tuesday 4 September 2018 23:33
Allah YERHAM khona DJILLALI, exactement mon frère, il a laissé un grand vide avec ses écrits qui etait un soutiens psychologique et sentimental, en nous laissons voyager avec nos belles pensées.
ENAS LEMLAH SONT IREMPLACABLES KHO.
Il y'a un proverbe que j'aime qui dit
Prends bien soins des gens qui t'entoure , sinon ils se retirent de ta vie sans que tu ne t'apercois.
Et notre cher DJILLALI est partit ou malheuresement on ne peut le faire revenir .
Mais , ses écris sans sur ce site en bons soins inchaalah.
Allah YERAHMOU kho ou yerazkou el Jena.
Brahim saoud
- Monday 3 September 2018 19:20
c'est une grande perte pour la grande famille des ménervillois , toi , qui ne te lassait jamais de nous encenser avec tes beaux et riches poèmes , tu avais l'art et la faculté de traduire tes belles pensées par des expressions simples , empreintes de douceur et de modestie ,tu es parti , certes mais tu demeureras présent dans nos coeurs , Rahimaka Allah oua askanaka fassiha djinanihi ,
guest
- Sunday 12 August 2018 17:50
A khouya Ali
Je viens d'apprendrele décès de votre cher frere et ancien collègue Djillali rabi irahmou
En cette douloureuse et afflictive circonstance , je vous ptesente mes condoléances les plus attristées et toute ma compassion à vous , sa femme, ses enfants,ses freres et toutes ses soeurs.
Nous demandons à Dieu le tout Puissant, le Miséricordieux de l'accueillir en son Vaste Paradis .A lui nou appatenons et à lui nous retournons .
Mourad Melikechi
- Sunday 12 August 2018 14:03
Toutes mes condoléances à la famille Boutiche suite au décès de Djilali Allah irahmou courage
Ali Rahmoune
- Sunday 12 August 2018 12:41
C'est avec une très grande tristesse que je viens d'apprendre le décès de notre grand ami du site de Thénia, il s'agit bien sur de notre merveilleux poète khoya Djillali Boutiche. Mes sincères condoléances à toute sa famille (sa femme et ses deux filles) ainsi que tous ses frères et soeurs (Ali, Brahim et Djamel). Khoya Djillali, nous regretterons tous tes nostalgiques posts dédiés à Ménerville ainsi qu'à tes parents (Rabbi yerhemhoum). Repose en Paix, tu resteras toujours parmi nous avec ton sourire innocent. Inna illah oua inna ilayhi radji3oune. L'enterrement aura lieu aujourd'hui à Derouèche Ali après salate el Asr.
Djilali Adjani
- Sunday 12 August 2018 12:23
Aujourd’hui Khouya Djilali tu es parti sereinement rejoindre le seigneur des mondes.je te pleure La3zize comme j’ai pleuré mon Frère Ali. Tu seras indélébilement gravé dans ma mémoire comme un grand homme, un Frère et Ami incontestablement doté de grandes valeurs morales et de vertu, de simplicité et de modestie.
En cette afflictive et douloureuse circonstance je présente mes condoléances les plus attristées et toute ma compassion à ses Frères Ali, Djamal et Brahim, ainsi qu’ à ses sœurs, son épouse et ses enfants, sans oublier son beau-frère Slimane et tous ses proches que j’assure de ma sympathie la plus profonde en me prosternant devant ALLAH, l’éternel, le suprême, le compatissant et le très miséricordieux l’implorant d’ouvrir grandes les portes éternelles de son vaste Paradis afin de l’accueillir et de vous doter de toute la foi et la patience pour affronter ces moments affligés et cette très douloureuse Epreuve de votre vie.
رحمه الله و ألهم ذويه الصبر و السلوان إنا لله و إن إليه راجعون .
guest
- Sunday 12 August 2018 12:00
Inna lilAllah ou inna ileyhi radji3oun ! Rabbi yerhmou
beggar med tidjelabine
- Sunday 12 August 2018 10:49
rabi yarhmou khona djillali et mes condoléances à ses freres ina lilahi radj3ouene
beggar med tidjelabine
- Sunday 12 August 2018 10:49
rabi yarhmou khona djillali et mes condoléances à ses freres ina lilahi radj3ouene
Un menervillois qui a la pureté du coeur
- Sunday 12 August 2018 10:20
C'est avec une très grande tristesse que je viens d'apprendre le décès d'un grand menervillois plein de sagesse et de sympathie, c'est notre regretté ami Djillali BOUTICHE .
ALLAH YERAHMEK KHONA DJILLALI WA MATHWAK EL DJANA.
ALLAH ISSABER TOUTE SA FAMILLE
Mes condoléances a ses frères Brahim , Ali et toute la famille Boutiche de cité Sigwald.
INA LI ALLAHI WA INA LI ALLAHI WA INA ILLAYHI RAJI3OUNE.
Djillali B.
- Thursday 12 July 2018 19:01
[reply=53971]un ami du site[/reply] ; modeste; on l aime ". Voilà un compliment que japprecie.merci kho.
un ami du site
- Thursday 12 July 2018 17:59
modeste ,on l,aime
un ami du site
- Thursday 12 July 2018 17:58
ALLAH IBAREK .jeune souriant,il a toujours le sourire ,je dirais un personnage ,classe,sympa,généreux,serviable.modeste,on l'aime.
Un menervillois qui a la pureté du coeur
- Tuesday 10 July 2018 10:25
Notre enseignant DJILLALI BOUTICHE allah yahefdou.
Slimane B.
- Monday 9 July 2018 00:21
C’est toujours un plaisir d’ouvrir les pages de ce site. Il est vrai que je le fais de moins en moins qu’avant. Par intermittence. Mais comment ne pas te lire. Tes écrits mettent vraiment en appétit. Pour celui qui en veut. Ils sont d’une gourmandise insatiable, insolite. Singuliers, ils traitent de tout, du difficile comme du facile. Du beau et du vil; de l’inique et du généreux…Ils rafraîchissent ce site. Les tournures, que tu tisses, sont enveloppées dans ta belle langue sont des cadeaux.Du tout bénef. Tes envolées lyriques sont d’une autre dimension. Tu pousses la langue à se vivifier. À se vitaliser. Tu sais comme personne l’adapter à notre société. A la vie humaine, tout simplement. Un observateur invétéré, acéré de sa société.
Dans un style narratif, concis mais chargé de l’incipit à la chute. Comme ton célèbre aîné de Normalien avec qui tu as partagé, tant jeune que modeste, un éminent lieu de vie…sur les hauteurs d’Alger.Tu «Fouroulouses» aussi bien que Mouloud dans ces récits des tiens, autobiographiques. Lui, c’était Nanna…Toi Jida, Aâmi El Hadj, Na Dhrifa Da Amar, Hakim et le « Champignon » et même le chien du grand père… Allah yerahmhoum.
Tu «père-Gorioses» dans le style balzacien, si tu me permets cette expression. Le premier roman que j’ai lu de ta part. N'était sa vie d’autre temps, Honoré serait encore à chercher ta compagnie pour disserter sur la comédie humaine. J’arrête là, au risque de passer pour un panégyriste.
A bientôt, homme de plume. Je me languis de te revoir.
Djillali B.
- Sunday 30 July 2017 16:13
[reply=51678]invité[/reply] .
MERCI POUR LA PHOTO.
Elle date DE 1983 .J'enseignais à ''' l’école elkbir '' .J'avais pris en charge deux classes magnifiques de 6
ème année qui nous ont fait honneur à l'examen de passage en premiere année moyenne .L’école el kbir a toujours un établissement de haut standing par tradition et y travailler était un plaisir et un honneur.
Un honneur et un plaisir d'autant plus que j'y avais étudié du cp (année préparatoire) à la troisième (4e année moyenne .) 10 ans de ma vie scolaire.
PS .Mon prénom d’état civil est Mohamed. Djillali est un surnom familial
guest
- Saturday 29 July 2017 22:10
السلام عليكم و رحمة الله و بركاته..الاستاذ جيلالي بوطيش الله يحفظو...و ليس الله اخليح..
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