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  • MIMIH - Friday 25 November 2016 20:30
    [reply=50743]Lu pour vous (une addition au sujet de la fatwa)[/reply]

    sahit et merci pour ce point que j'ai oublié

    J e vois que l'algerie est en face a une DESTRUCTION TOTALE DES MEURES , quelques soit les raisons mais LA CAUSE est la seule, il y'a qui sont loin du droit chemin de nos parents ou des bons principes.

    Je vous invite tous a voir ses causes et raisons

    A voir

    سري جدا : الاخلاق في مهب الريح ( الزطلة والخمر .الاكستا و المواقع الاباحية ولباس الفتيات )
    DZ Video

    ALLAH YELTAF OULED ET BNET FAMILIA

    Notre KALIF ALI A DIT .


    إنما الفخر لعقل ثابت ... وحياء وعفاف وأدب.


    - علي ابن أبي طالب

    ALLAH YEJ3ALNA MINA ATHABITINE AMINE
  • Lu pour vous (une addition au sujet de la fatwa) - Tuesday 22 November 2016 12:06
    Le drame silencieux de l’avortement au noir en Algérie

    Un nouveau-né a été découvert emballé dans un sachet noir à la décharge publique de Oued Smar la semaine passée. Un autre dans des WC à l’intérieur de l’hôpital Mentouri d’El Milia. Un autre encore dans un couffin dans la daïra de Sebdou à Tlemcen.

    Bref, il ne se passe pas une semaine sans que l’on enregistre des fœtus jetés ou des nouveaux-nés abandonnés à travers toutes les wilayas du pays. Chaque année l’on dénombre pas moins de 3 000 enfants abandonnés en Algérie. Ce chiffre est loin de refléter la réalité puisqu’il ne compte pas les enfants victimes d’infanticide avant ou à leur naissance. Faute de ne pouvoir se faire avorter, des femmes enceintes procèdent, dans des moments de faiblesse, à l’assassinat de leurs bébés.

    Les causes sont multiples, mais l’impossibilité pour ces femmes d’arrêter leur grossesse en est la cause principale. Bien que des centaines parviennent d’une façon ou d’une autre à se faire avorter, la majorité écrasante d’entre elles porte pendant neuf mois leurs bébés avant de l’étouffer, l’étrangler ou de carrément l’abandonner aux chiens sur la voie publique. Celles qui réussissent à trouver un avorteur endurent souvent des séquelles et handicaps dûs aux mauvaises conditions dans lesquelles s’effectue cette intervention.

    L’avortement entre chiffres et réalité

    Strictement interdit par la loi et banni par la religion, l’avortement au noir demeure néanmoins une pratique courante en Algérie. Plusieurs gynécologues et autres paramédicaux le pratiquent mais en cachette et loin des yeux des autorités. Les services de sécurité tombent rarement sur des cas d’avortements illégaux et ce, pour la simple raison que les concernées et leurs familles font tout pour l’étouffer de crainte du déshonneur. Les quelques affaires traitées par la police judiciaire n’ont été rendues possibles qu’après l’hospitalisation, en état critique, de ces femmes. «On ne dénonce pas l’avortement mais on le découvre» tient à préciser Kheira Messaoudene, chargée de communication de la police judiciaire. «En 2007 nous avons enregistré huit cas. Durant les seuls trois premiers mois de l’année en cours nous avons déjà traité sept affaires. Bien que la hausse est significative elle reste, nonobstant, en deça du nombre réel des femmes qui se font avorter en Algérie», et d’ajouter que les complices «sont souvent les amants de ces femmes, les gynécologues, et même les femmes de ménage employées dans les institutions hospitalières».

    Interrogée sur le nombre de cliniques qui pratiquent frauduleusement ces interventions, celle-ci affirme que durant l’année écoulée seulement une seule clinique a été fermée pour avortement illégal. Bien que la pratique soit répandue, voire même au niveau de cabinets bel et bien réputés pour cette pratique, «le manque de preuves empêche toute intervention des éléments de la police nationale» conclut-elle.

    Comment faire pour avorter en Algérie ?

    Le bouche à oreille, telle est la stratégie marketing utilisait par les avorteurs. En fait, il suffit de connaître une personne qui connaît à son tour une autre, qui connaît approximativement un gynécologue ou un infirmier pour pouvoir effectuer une interruption volontaire de la grossesse (IVG). Des réseaux bien structurés seraient implantés à travers plusieurs wilayas du pays.

    Très prudents et bien organisés, ceux-ci ne prennent aucun risque et n’hésitent pas à dire non au moindre soupçon. En fait, c’est un secret de Polichinelle qu’à Alger, à titre d’exemple, des cliniques situées dans des communes bien précises pratiquent ces interventions. «Mais sur commande» précise un étudiant qui dit avoir connu une amie qui a déjà avorté. Il nous donne l’adresse et on se déplace vers ledit cabinet de gynécologie. A notre arrivée, la secrétaire nous accueille avec un large sourire. En lui expliquant le motif de notre visite, celle-ci change de couleur, panique et questionne en balbutiant : «Mais qui vous a orienté ici ?». «C’est une amie. Elle a déjà avorté chez vous» a-t-on répondu. Epoustouflée et épouvantée, elle va tout droit vers la porte, l’ouvre et nous prie de sortir en nous affirmant que nous nous sommes trompés d’adresse.

    Devant notre insistance, la secrétaire jure par tous les saints que ce genre d’intervention ne se pratique pas dans son cabinet. Ne voulant pas lâcher prise et devant notre insistance, celle-ci accepte gentiment de nous orienter vers un autre cabinet situé pas loin du sien où il se pourrait, précise-t-elle, que le gynécologue accepte de nous aider. Maintenant que la voie est trouvée, il suffit de dire au gynécologue de l’autre clinique que nous sommes venus de la part de Mme X pour que l’affaire soit réglée.

    Un avortement sans douleur à 35 000 DA

    Il est connu et reconnu que le prix de l’IVG varie d’une clinique à l’autre, en fonction du mois de la grossesse. Si cette dernière n’a pas dépassé les 12 premières semaines, elle ne présente pas de gros risques pour la santé de la femme, les prix appliqués sont alors de 25 000 à 35 000 DA. Lorsque la grossesse dépasse cette durée, la somme est multipliée et atteint les 100 000 DA.

    Une cherté qui fait de cet ultime recours un luxe souvent pas à la portée de toutes les femmes qui désirent interrompre leur grossesse. Celles-ci, qui se trouvent souvent toutes seules à assumer une bêtise commise à deux, se font avorter d’une façon traditionnelle chez des sages-femmes ou dans des cabinets privés où les conditions d’hygiènes ne sont pas respectées. Ainsi, des gynécologues sans scrupules font des avortements à l’arrière-boutique de leur cabinet ou dans des chambres isolées de leurs cliniques. Peu importe la salubrité des lieux et la santé de la femme, l’essentiel c’est de gagner le maximum possible d’argent.

    Des exemples pareils sont légion et leurs retombées sont tragiques. Mais sous la pression et la peur de la réaction de la famille et de la société, de malheureuses femmes se jettent corps et âmes dans ces écuries afin de sauver leur honneur, de se prémunir contre les préjugés de la société mais surtout pour se protéger de l’intolérance de la famille.

    Un constat apocalyptique

    Selon Mme Goudil, directrice du centre d’accueil de l’association SOS femmes en détresse, «90% des femmes enceintes suite à des relations hors mariage refusent de garder leur bébé». Ce chiffre renseigne sur la volonté de la majorité écrasante de ces femmes à se débarrasser, par tous les moyens, de leur grossesse illégitime. Mais pourquoi ? «La peur de la réaction de la famille, le regard accusateur de la société ainsi que le manque de moyens pour prendre en charge leurs bébés sont les principales causes» affirme de son côté Mme Fadela Chitour, présidente du réseau Wassila. Par ailleurs il est à relever que la majorité de ces femmes sont des fugueuses ou des étudiantes qui viennent dans les centres de l’Etat pour accoucher secrètement avant de rejoindre la demeure familiale. «La plupart d’entre elles découvrent tardivement leurs grossesses et ne peuvent pas se faire avorter. Mais même si elle veulent le faire au bon moment, elles trouvent des difficultés à réunir la somme exigée ou à trouver un gynécologue» souligne Mme Goudil.

    Et d’ajouter que son association prend en charge, pour elle seule, entre 50 à 60 femmes enceintes d’une relation hors mariage par année. Bien que des enquêtes sur l’avortement au noir n’existent pas dans notre pays, «le nombre de femmes qui optent pour cette solution est énorme» affirme un membre de l’Association nationale de la planification familiale. Et pour preuve, ajoute-t-elle «des centaines de femmes se font évacuer vers les hôpitaux dans un état critique après avoir procédé à des tentatives d’avortement échouées». Ces femmes ont, en désespoir de cause, recours à tous les procédés, aussi risqués soient-ils. L’essentiel est de cacher et interrompre leur grossesse non désirée.

    A. F.
  • MIMIH - Monday 21 November 2016 21:38
    Cette semaine il y'a eu UNE FATWA D'UN DA3IA ALGERIEN SUR L'ANNONCE POUR UN MARIAGE AUX JEUNES FILLES PAR FACEBOOK :whistling:

    A voir

    شاهد فتوى غريبة للشيخ على عية يجيز للعوانس وضع إعلانات زواج في الفيس بوك
    DZ TOP VIDEOS

    C'est a dire , je ne sais pas cet imam d'ou il a ramené cette FATWA et en precisant l'age des jeunes filles entre 25 et 26 ans cet age des PERIDES DES CATASROPHES , HACHA BNAT FAMILIA
    ATTENTION LES FILLES DE CETTE FATWA

    Donc cet IMAM ne sait pas QUE LES LOUPS GAROU EXISTENT EN ALGERIE .
    EN PLUS ON EST PLUS EN TEMPS DES KALIFS.

    Une annonce sur le net pour le mariage que vas elle attirez que des loups ,
    1 PHOTO, 2SORTIE POUR SAVOIR AL 3AKLIA (C'EST UNE MODE DES HOMMES BEAUX PARLEURS AVEC OU SANS CONSENTEMENT DE SA FAMILLE) EN SES DERNIERS TEMPS, 3-FREQUANTATIONS, .....ETC.

    YA SI AL IMAM RAK EN ALGERIE CETTE ALGERIE QUI A ECOUTEZ BIEN SELON UNE ASSOCIATION INDEPENDANTE 3000 BEBES X EN 2015

    C'est a dire LAHRAM RAH AKTER EN ALGERIE OU MA KHASETNA RIR CETTE FATWA

    AL 3AHED PAR INTERNET N'EST PAS EN SECRET ?
    , C'EST UNE GRANDE PORTE VERS LE SECRET QUI PEUT INCLURE AU DESHONOR DE TOUTE UNE FAMILLE SI LA FILLE EST STUPIDE OU IRRATIONNELLE.

    Il y'a des relations ou mariage par internet qui reussissent MAIS PAS TOUTES PSQ MACHI DIMA OULID FAMILIA QUI EST DERRIERE UN PC ..ETC ET QUI N'ATTEND QUE CETTE ANNONCE POUR CE MARIER!!
    ET C'EST PAS TOUS LES HOMMES OU LI YA3REF KIMET BENT FAMILIA LORSQUE ELE VOIT QU'IL EST L'HOMME IDEAL POUR ETRE SA MOITIE.

    Il y'a eu ICI A MENERVILLE un type qui n'est pas menervillois qui a trompé toute une famille (fiançailles et sortie) alors qu'il etait marié avec des enfants, ALHAMDOULAH KAYEN OULED FAMILIA MENERVILOIS QUI ONT AVERTI CETTE FAMILLE QU'IL EST MARIE
    AVANT QUE MA ALFACE IJI FI ARACE .

    LAKHDA3 RAHOU AKTAR FI HAD AZMANE

    DONC MIMIH INCITE QUE CETTE FATWA EST DANGEREUSE POUR TOUTES LES FILLES QUEL QUE SOIT LEUR AGE YA SI AL IMAM.

    LE MARIAGE N'A PAS D'AGE COMME L'AMOUR
    NASS BEKRI GALOU

    LEMRA ARZINA OU ZINA ZINET ADAR
    MEKTOUB ARAJEL FI YEDOU OU METOUB LEMRA FI ASMA PAS SUR INTERNET
  • MIMIH - Friday 18 November 2016 21:46
    La loi de finace 2017 plus d'imposition a la population

    regardez l'austerité lorscequ'elle touche nos deputés

    Regarde La Réponse des Députés quand on les Demande de Baissé leurs Salaire
    Sam Free

    Si zagad a dit une chose sur l'algerie des vieux

    A voir

    عاجل:النائب حبيب زقاد يقصف وزراء حكومة سلال Hbib zeged clash 2017
    be positive


    Ma at3ayiche rouhek ya si zaghad
    Pour les vieux au pouvoir ouga3dou antoum ankhalouha likoum
    khalouna berk anmoutou a l'aise

    A voir

    الكاميرا الخفية الحلقة 2 - ميت و رجع للدنيا
    Master Mind

    :rotfl:
  • MIMIH - Saturday 12 November 2016 22:17
    Je vous invite a faire ample connaissance avec cette secte ou idéologie maçonnique

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