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  • MIMIH - Friday 22 April 2016 22:07
    Chakib Khelil : « Je suis prêt à servir mon pays si on me le demande »

    le 20.04.16 | 22h51 Réagissez

    L’ancien ministre de l’Industrie et des Mines Chakib Khelil assure de sa disponibilité à aider dans la gestion des affaires du pays si on le lui demande.


    « Je n’ai pas d’ambition politique mais je suis prêt à servir mon pays si on me le demande », a déclaré Chakib Khelil ce mercredi los d’un entretien accordé à Dzair News TV.

    L’ancien ministre a profitée de cette tribune pour démentir, une nouvelle fois, les faits qui lui sont reprochés. « Tout les contrats dans le secteur de l’énergie et des mines établis en ma présence se sont fait dans le cadre d’appels d’offre internationaux qui ont suscité une concurrence internationale des entreprises », dit-il. Et d’ajouter plus loin « Ma conscience est tranquille mais j’ai peur de certaines parties occultes qui pourraient me nuire ».

    M.Khelil a nié avoir été officiellement interpellé par une quelconque institution juridique dans le monde, ni en Algérie ni ailleurs. La presse a, selon lui, tout inventé et cela lui porter préjudice notamment pour l’acquisition d’un emploi à l'étranger.

    Mina Adel
  • MIMIH - Tuesday 19 April 2016 22:30
    A voir

    Cash investigation : "Panama Papers" Paradis fiscaux; le casse du siècle / intégrale
    Cash Investigation
  • MIMIH - Thursday 14 April 2016 22:59
    TAYEB LOUH ET LES CAS KHELIL ET BOUCHOUAREB :
    «Je m’interdis de commenter le travail de la justice»

    C’est au nom de la séparation des pouvoirs et de l’indépendance de la justice, un des socles de l’Etat de droit, une des revendications chères à l’opposition, que le ministre de la Justice et garde des Sceaux défend les cas Chakib Khelil et Abdessalem Bouchouareb.
    M. Kebci - Alger (Le Soir) - Et Tayeb Louh, qui était interpellé, avant-hier mardi et hier mercredi à l’APN à l’occasion de la présentation et de l'examen du projet de loi complétant l'ordonnance n°156-66 portant code pénal, a pris le minutieux soin de ne pas citer l’ex-ministre de l’Energie et des Mines et le ministre de l’Industrie et des Mines en poste, invitant son auditoire, députés et journalistes, à «élever le niveau» et à «l’accompagner» dans l’approfondissement des réformes de la justice allant dans le sens de la séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice.
    «Il y a des principes constitutionnels qui figuraient déjà dans l’ancienne Constitution que la nouvelle Constitution a davantage consacrés. Des principes qui interdisent toute immixtion de l’exécutif dans la justice et consolident la séparation des pouvoirs, l’indépendance de la justice, notamment celle du juge et donc l’Etat de droit», soutenait-il au sortir de cette séance parlementaire. Et d’affirmer qu’il «s’interdisait», de ce fait, de «commenter le travail de la justice» dans le cas Chakib Khelil, sans citer ce dernier, comme pour répliquer au directeur de cabinet du président de la République qui, le 1er avril dernier, s’est évertué à commenter longuement le dossier, lui qui, quelques jours auparavant, s’est interdit toute déclaration, affirmant «n’avoir rien à dire».
    En effet, intervenant sur une de ces chaînes de télévision «offshores», et tout en «blanchissant l’ex-ministre de l’Energie et des Mines, Ahmed Ouyahia avait soutenu que l’ancien procureur d’Alger qui avait lancé en août 2013 le fameux mandat d’arrêt international contre Khelil, avait agi sur ordre sans citer l’ordonnateur, laissant seulement comprendre qu’ils émanaient du ministère de la Justice.
    Une attitude qu’il avait, auparavant adoptée face aux parlementaires, ceux, bien entendu, qui l’avaient interpellé sur le retour de l’ancien ministre de l’Energie et sur le cas du ministre de l’Industrie et des Mines cité dans le fameux scandale d’évasion fiscale des Panama Papers.
    Invitant ces députés à «élever» le niveau et à respecter «la présomption d’innocence», le ministre de la Justice et garde des Sceaux les a exhortés à «laisser la justice faire son travail selon la Constitution et sans ingérence», au nom, toujours, de la séparation entre les pouvoirs pour lesquels «nous nous battons depuis des années».
  • L'invité du vendredi ! - Thursday 14 April 2016 05:57
    Bonjour traîne-au-lit ! Réveillez-vous et soufflez moi une idée, car ce matin, c'est la ..........

    La feuille blanche.
    Le syndrome de la feuille blanche, on a tous connu cela un jour. On l’étale devant soi, on la regarde, on suce son crayon, on lève la tête au ciel, on se tire les cheveux enfin pour ceux qui en ont. On se creuse la tête mais rien ne vient. Pas le moindre sujet à se mettre sous la dent. Le fil des idées est rompu. On a beau regarder à droite, à gauche, rien ne jaillit. C’est le calme plat. C’est vraiment désespérant, pourtant, on vit dans un monde en perpétuel mouvement, dans un milieu riche en événements où chaque minute qui passe ne ressemble en aucune façon à celle qui va venir, mais l’œil n’arrive pas à percevoir le changement et à le traduire sur le papier. C’est le trou noir qui fait fuir l’inspiration, c’est l’aridité totale, c’est le désert. C’est rageant. Alors excusez-moi de refermer mon cahier, et confus de laisser ma feuille vide, celle que je n’arrive pas noircir faute de matière celle qui me donne mauvaise conscience comme maintenant où je m’apprête à vous la présenter la mort dans l’âme aussi blanche que le cœur de mes amis(es) qui indulgents me pardonneront cette digression devant cette inspiration qui me nargue en jouant à cache-cache avec moi, jeu qui pourtant n’est plus sensé être de mon âge.
  • L'invité du vendredi ! - Thursday 14 April 2016 05:47
    Bonjour Fifibidi, la suisse est l'un des pays les plus propre du monde et l'exemple vient toujours de lui ! PUISSENT CES BONNES HABITUDES FAIRE BOULES DE NEIGE CHEZ NOUS CAR C'EST UNE AFFAIRE DE CULTURE BEAUCOUP PLUS QUE CELLE DES LOIS A VOTER.Le bonjour à ce cher petit rigolard qui aime beaucoup les blagues et au reste de la famille.Merci pour le poste.
  • fifibidi - Wednesday 13 April 2016 22:47
    Jeter un déchet dans la rue coûtera 300 frs
    Abandonner sauvagement sa canette ou un sachet plastique hors des poubelles sera amendable dans toute la Suisse.
    Plus question de jeter son mégot dans la rue ou une canette dans un champ. Le «littering» devrait être passible d'une amende allant jusqu'à 300 francs dans toute la Suisse. Le Conseil fédéral soutient ce projet que le National devrait adopter lors de la session d'été.
    La pollution de l'espace public par de petites quantités de déchets urbains a atteint un niveau préoccupant, note le gouvernement, à qui il reviendra de fixer le montant précis de l'amende. Bien que plusieurs cantons aient déjà pris des dispositions pour sanctionner le littering, il estime justifiée une réglementation uniforme au niveau national.
    Le Conseil fédéral est également favorable à ce que l'élimination inappropriée de grandes quantités de déchets urbains soit de nouveau sanctionnée. Il serait impensable en effet d'amender l'abandon d'une canette dans la rue mais pas celui d«un sac poubelle dans la nature.
    La révision de la loi sur la protection de l'environnement pose une interdiction fédérale de jeter de petites quantités de déchets (emballages, bouteilles, canettes, sachets en plastique, restes de repas, chewing-gums, mégots).
    La législation nationale remplacera celles déjà émises. Elle laisse en revanche le droit aux cantons de prévoir des dérogations à l'interdiction du «littering» pour les manifestations soumises à autorisation (1er août, marché aux oignons, festivals de musique).
    Flagrant délit
    Les amendes d«ordre seront infligées directement dans les lieux accessibles au public (rues, parkings, moyens de transport, nature), si l'auteur est pris en flagrant délit par la police. Idem si cette dernière voit une personne jeter un déchet par-dessus la clôture d«un terrain privé, et l'interpelle.
    Un propriétaire pourra en outre dénoncer un cas. L'amende sera alors infligée par le ministère public dans le cadre de la procédure ordinaire.
    Dans la foulée, le projet prévoit une amende d'au maximum 20'000 francs pour l'élimination inappropriée de grandes quantités de déchets urbains: à savoir ne pas les disposer de manière à ce qu'ils puissent être ramassés par les services compétents ou ne pas les remettre aux points de collectes.