DSC03663.JPG DSC03662MiniaturesDSC03664
Téléchargements
0
Notez cette photo

33 commentaires

Ajouter un commentaire

  • Un menervillois qui a la pureté du coeur - Jeudi 4 Janvier 2018 08:54
    Carburant:les nouveaux prix applicables a partir du 2018 ....Algérie Focus
  • Un menervillois qui a la pureté du coeur - Vendredi 29 Décembre 2017 21:49
    Le gouvernement algérien va arrêté tous types d'importations excepté la banane:eat1:.
    Ya3ni le général de la banane est toujours debout.
    Par contre la coopération pour ouvrir plus d'usines de voitures, c'est a dire l'Algérie va devenir le depos de la féraille de l'Europe avec ces décideurs qui gèrent le pays et le citoyen a la recherche d'un sachet de lait.
    Allah ijib el KHEIR fi bled belkheir.
  • MIMIH - Samedi 24 Septembre 2016 11:16
    CE MINISTRE EST ENTRE LE OUI ET LE NON ?
    MA AFHAMNACHE HAD L'HISTOIRE QUI EST EVOQUE D'UN MOMENT A UN AUTRE WA3LAH ?
    DES FOIS ELLE EST POUR ET DES FOIS ELLE DIT QUE CE N'EST PAS DES PRIORITES.
    LE JOUR DU BAC L'NTENET BKMALHA A ETE COUPE
    L'ALGERIE MA WELLINACHE NEFAHMOUHA

    VOUS ETES POUR OU NON ?
  • MIMIH - Dimanche 28 Février 2016 21:59
    Demain c'est un jour décisif pour l'algerie et tout le nord africain

    On dit que l'algerie a toutes les clefs du monde POLITIQUEMENT, mais une union avec la russie qui a le même style dans l'envoie DES MESSAGEs DECHIFFREES
    PAS DE PROBLEMES :whistling:

    A voir

    funny Vladimir Putin & Angela Merkel
    lustige Videos
  • MIMIH - Mercredi 24 Février 2016 09:18
    Barakat - Mardi 23 Février 2016 19:35

    Bonjour mon cher frère

    Hier soir j'ai lu l'article que vous avez publier ecrit par r.M, mais pardonnez moi j'etais vraiment très fatigué suite a une journée de conduite de menerville a bougie, passant par bouira et naciria avec MON CHER PERE , il aime visité ses amis par tout et c'est MIMIH qui paie les frais MA3LiH nos parents andiroulhoum 3la khaterhoum , aujourd'hui ils sont ici demain allah ay3lem,.
    rabi itawel fi 3oumr tous les parents maine.

    Bon pour reponde a votre question , je n'es que 2 reponses, que les internaute h/f m'esccuse sur les mots ditents par un parlement courageux psq c'est un autre visage de notre pays qui s'offre aux algeriens.
    ALLAH YELTAF.

    1- A voir

    .Boumediene annonce la nationalisation des hydrocarbures
    maamarmokhtar

    2- A voir

    الجزائر قانون المالية لسنة 2016 النائب اسماعيل قوادرية من ارفع راسك يا با إلى انزع سروالك يابا
    ECHOROUK -TV


    Donc quelles de ses algeries chopisira un ALGERIEN NATIONNALISTE ?
  • MIMIH - Jeudi 4 Février 2016 21:47
    guest - Mardi 2 Février 2016 22:46

    Quels que soit ton pseudo, salut mon ami.

    Wellah je viens d'enter a menerville après une semaine d'absence, donc , je ne sais pourquoi cette réception avec cette phrase ?

    CHOUF KHOYA

    GALOU NASS AZMANE

    MA TECHKOUR HATA ATJEREB
    OU MA TEDROUB HATA ATGUEREB

    Inchaalah berk vous n'êtes pas un de jma3et 06 ans ou 4 ans ...etc.
    PSQ je suis un type HONNETE, donc PAS DE DISCUTION M3AK.:whistling:

    Un conseille ROUH ATCHOUF KACHE WAHDA ATLEMEK ou lieu d'insulter les gens que vous ne connaissez pas , qui sont ils vraiment ou quel est leur vrai fond, je vais prendre un long congé a menerville, wache atgoule on se donne RDV demain matin a menermille, je suis un type matinal, ou a n'importe quelle heure, MIMIH est la.

    GALOU NASS AZMANE

    IDA AKHSERT LEMLIH ANDAMA MA BA3DHA ANDAMA
    WIDA AKHSERT LAKBIH FERHA BLA AMLAMA

    Moi je vous reponds malgrè vos insultes ASMAH, mais attention avec ANASS LEMLAH, il y'a un grand proverbe d'un grand qui dit;

    A la fin, nous nous souviendrons non pas des mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis."

    Martin Luther-King

    Donc attentions ya khoya la3ziz PSQ LEMLIH ADOUAH LEMLIH
    OU IMEDOU RABI AL 3ABDOU MERA FI LAHIATE
    IDA YESTAHLOU YEDIH WIDA MA YESTAHLOU 3ANDOU MALIH (LES GENS QUI LE MERITENT)
    OU LAHDITH AKIAS YA NASS.

    BAYEN 3LIK NASS MLAH je vous dedie cette belle chansaon d'un grand comme cadeau d'amitié.

    3achki Ma Henani El Hadj El Hachmi Gherouabi
    Amoula Moula


    MIMIH GUELBOU KBIR ALLAH IDIRLEK OU IDERELNA ATAWIL AMINE.
  • MIMIH - Jeudi 4 Février 2016 21:19
    un menervillois - Mardi 2 Février 2016 09:01

    Bonsoir mon frère

    Il y'a un article sur un quotidien algerien ; qui nous montre LES VOIES de la corruption en algerie.

    Corruption : Détourner L’argent De Sonatrach En 5 Leçons

    corruption_sonatrachLa justice italienne a dévoilé une nouvelle affaire de corruption qui implique Sonatrach et Saipem, une filiale de l’entreprise pétrolière italienne ENI. Si les faits sont nouveaux, les méthodes de corruption sont similaires à celles d’une première affaire de 2010, qui a conduit à l’incarcération de Mohamed Meziane. Voici comment réussir à détourner des millions de dollars de Sonatrach.



    1-Sachez vous entourer

    Pour parvenir à vos fins, il est indispensable d’être bien entouré. Etre le fils ou la fille d’un membre du gouvernement est une position idéale. Si vous n’êtes pas né sous une bonne étoile, pas de panique : devenir membre de la famille d’un haut cadre de ministère peut suffire. Pour cela, il suffit de bien choisir qui vous épousez. C’est le cas par exemple de Tayeb Kouidir, l’un des mis en cause dans l’affaire Sonatrach 2, qui a épousé la fille d’un haut cadre du ministère de la Défense. Si les liens familiaux sont importants, le réseau de vos amis n’est pas négligeable. Prenons un exemple : Farid Nourredine Bedjaoui, suspecté par la justice italienne d’être un intermédiaire dans l’affaire de corruption entre Sonatrach et l’ENI. Farid Bedjaoui est le neveu d’un ministre. Mais il est aussi l’ami d’un autre ministre qui connaît très bien Pierre Falcon, un exportateur d’armes qui a beaucoup d’influence sur le marché pétrolier algérien. Les amis de vos amis sont vos amis.

    2-Choisissez bien votre entreprise-partenaire

    Pour détourner de l’argent en toute discrétion, il faut vous fondre dans la masse des échanges commerciaux. L’idéal est donc de réaliser une transaction avec une entreprise pétrolière qui vous aidera à récupérer l’argent que vous visez. Préférez celles dont les dirigeants ont déjà été condamnés pour trafic d’influence. Enfin, les entreprises étrangères dont les patrons sont proches du pouvoir local sont à privilégier. Le choix de l’entreprise italienne ENI est un bel exemple : son président, Paolo Scaroni, un ami de l’ancien chef de gouvernement italien, Silvio Berlusconi, a fait 16 mois de prison dans les années 1990 pour corruption. Expérimenté et protégé, il est l’interlocuteur parfait pour votre plan. Une fois l’entreprise choisie, n’hésitez pas à inviter ses dirigeants pour les convaincre de collaborer avec vous. Insistez sur les marchés qu’ils pourraient obtenir. Pour cela, chouchoutez-les en choisissant de prestigieux hôtels à l’étranger, comme le Georges V à Paris ou le Bulgari à Milan. N’oubliez pas d’y convier également les membres du gouvernement algérien, qui, rappelons-le, sont vos amis.

    3-Obtenez un gros marché auprès de Sonatrach

    Les rendez-vous que vous multiplierez dans les grands hôtels vous permettront d’aider votre entreprise-partenaire à signer un contrat avec Sonatrach. Dans le cadre économique légal, les entreprises obtiennent des marchés de sous-traitance d’autres entreprises. Il faut donc faire de même. Pour obtenir ce marché, votre entreprise-partenaire doit veiller à éliminer toute concurrence. Elle peut proposer à l’un de ses sous-traitant de postuler à l’appel d’offres. De cette manière, même si le sous-traitant obtient le marché à la place de votre entreprise-partenaire, l’argent arrivera jusqu’à votre partenaire. Mais pour s’assurer d’obtenir le contrat, vous pouvez aussi convaincre le sous-traitant de faire une offre beaucoup plus chère que celle de votre partenaire. De quoi refroidir les cadres de Sonatrach. Enfin, il est évident que l’offre de votre partenaire doit être gonflée et comprendre les frais réels du contrat ainsi que votre commission.

    4-Créez une société-écran

    Un bon détournement est un détournement discret. Après avoir été payé par Sonatrach, votre entreprise-partenaire vous versera votre commission. Comme vous devez rester invisible, une société-écran réceptionnera l’argent à votre place. C’est vous qui devez créer cette société. Choisissez scrupuleusement sa localisation. Privilégiez les grandes places financières mondiales, comme Hong Kong. Placez l’un de vos (nombreux) amis à sa tête. S’il est fiable et bien entouré, il pourra aussi servir d’intermédiaire. C’est via cette société que vous utiliserez l’argent détourné, en achetant par exemple de belles voitures et de grands appartements.

    5-Partagez vos gains

    Votre partenaire est satisfait. Il a obtenu un nouveau marché. Vous aussi. Vous avez détourné beaucoup d’argent. Mais pour remercier vos interlocuteurs et consolider vos liens, dans l’éventualité d’une collaboration future, il faudra leur faire bénéficier de votre commission. Il semble que Farid Bedjaoui ait trouvé la meilleure solution. Il serait actionnaire, à hauteur de 1,5 million d’euros, de l’entreprise de Pietro Varoni, l’un des dirigeants de Saipem, une filiale d’ENI. Un partenariat gagnant-gagnant.

    Yasmine Saïd
    El Watan 22 02 2013
  • invité - Mardi 2 Février 2016 22:46
    Mimih go please ! Ya Li matahchamch
  • un menervillois - Mardi 2 Février 2016 09:01
    L’INDICE MONDIAL 2015 DE PERCEPTION DE LA CORRUPTION

    L’Algérie a fait l’objet de 5 enquêtes

    L’Indice mondial 2015 de perception de la corruption (IPC) a été rendu public mercredi dernier par l’ONG Transparency International. L’Algérie obtient encore une fois, et ce n’est pas une surprise, une très mauvaise note de 3,6 sur 10 et la 88e place, soit le même score que celui des années 2014 et 2013, mais avec une remontée de 12 places — 100e place en 2014, remontée s’expliquant uniquement par un nombre moins important de pays dans le tableau de cette édition et 7 pays «ex æquo» à la 88e place ! L’Algérie a fait l’objet de 5 enquêtes et études d’organisations internationales indépendantes, enquêtes qui aboutissent toutes aux mêmes résultats.
    L’indice 2015 note 168 pays (175 en 2014) et territoires de 0 (extrêmement corrompu) à 100 (extrêmement intègre) selon les niveaux de corruption perçus dans le secteur public. Il utilise les données de 12 enquêtes portant sur des facteurs tels que l’application des lois anti-corruption, l’accès à l’information et les conflits d’intérêts. L'indice de perception de la corruption est le principal indicateur global de la corruption dans le secteur public, offrant un instantané annuel du degré relatif de la corruption par le classement des pays du monde entier. Cet indice est élaboré à partir de l’opinion d’experts sur la corruption dans le secteur public. Dans l’ensemble, deux tiers des 168 pays évalués pour l’indice 2015 obtiennent une note inférieure à 50, sur une échelle allant de 0 (perçu comme fortement corrompu) à 100 (perçu comme très peu corrompu).
    En 2015 le nombre de pays ayant réussi à améliorer leur score a été plus élevé que celui des pays où il a baissé, alors que l’Algérie stagne : le même score de 3,6 sur 10 pendant 3 années d’affilée.
    Les pays en tête de classement partagent des caractéristiques-clés : des niveaux élevés de liberté de la presse ; un accès aux informations budgétaires permettant au public de savoir d’où vient l’argent et comment il est dépensé ; des niveaux élevés d’intégrité parmi les personnes au pouvoir ; et des systèmes judiciaires qui ne font pas de distinction entre les riches et les pauvres, et qui sont véritablement indépendants des autres organes de l'Etat.

    Une mauvaise note est le signe d’un recours systématique à des pots-de-vin
    Ces pays obtenant une note élevée disposent souvent d’une administration transparente permettant aux citoyens de demander des comptes à leurs responsables. À l’inverse, comme c’est le cas de l’Algérie, une mauvaise note est le signe d’un recours systématique à des pots-de-vin, de l’absence de sanctions en cas de corruption et d’une inadéquation entre les prestations de l’administration et les besoins de la population. Outre le conflit et la guerre, une mauvaise gouvernance, la faiblesse des institutions publiques telles que la police et le système judiciaire, et un manque d’indépendance dans les médias caractérisent les pays les moins bien classés. Sur les 12 sources ayant abouti aux résultats de l’IPC 2015 (voir encadré ci-dessous), l’Algérie a fait l’objet de 5 enquêtes et études d’organisations internationales indépendantes, enquêtes qui aboutissent toutes aux mêmes résultats.
    La 1re de ces 5 enquêtes a été menée par le Forum économique mondial qui est une organisation internationale indépendante qui s’est engagée à améliorer l’état du monde. Le Forum invite des dirigeants d’entreprise, des responsables politiques, des universitaires et d’autres acteurs de la société à définir des programmes mondiaux, régionaux et industriels. L’enquête d’opinion auprès des cadres dirigeants est conduite chaque année par le Forum économique mondial. Au fil du temps, l’enquête a évolué pour pouvoir rendre compte de nouvelles données essentielles pour l’indice de compétitivité mondiale et pour d’autres indices publiés par le Forum.
    Ce dernier travaille en étroite collaboration avec un réseau de plus de 160 institutions partenaires qui prennent en charge l’enquête auprès de leurs pays ou territoires respectifs. Ces institutions sont sélectionnées pour leur capacité à entrer en contact avec les principaux chefs d’entreprises ainsi que pour leur connaissance du contexte commercial de leur pays et leur engagement en faveur du travail de recherche sur la compétitivité mené par le Forum.

    «Existe-t-il des mesures empêchant les titulaires de charge publique d’abuser de leur position pour
    leur profit personnel ?»
    La 2e enquête pour l’Algérie est l’œuvre de la Fondation Bertelsmann. Ce think tank (laboratoire d’idées regroupant des experts) œuvre à une meilleure éducation, un système économique juste et efficace, un système de santé préventif, une société civile dynamique et une compréhension mutuelle renforcée entre pays. Ses «Indicateurs de gouvernance durable» examinent la gouvernance et les processus de décision dans tous les Etats membres de l’OCDE et de l’Union européenne, dans l’objectif d’évaluer le besoin de réformes de chacun de ces pays et leur capacité à les mettre en œuvre.
    Les indicateurs sont développés à l’aide de données quantitatives collectées par des organisations internationales, complétées par l’analyse qualitative d’experts nationaux reconnus. Ses experts examinent la question suivante : «Existe-t-il des mesures empêchant les titulaires de charge publique d’abuser de leur position pour leur profit personnel ?» Cette question examine les moyens employés par l’Etat et la société pour empêcher les fonctionnaires et les hommes politiques d’accepter des pots-de-vin en adoptant des mécanismes de renforcement de l’intégrité. Ceux-ci peuvent prendre la forme d’audit des dépenses publiques ; d’un encadrement du financement des partis politiques ; d’un plus grand accès des citoyens et des médias à l’information ; des modalités de reddition de comptes pour les titulaires de charges publiques (déclaration d’intérêts, réglementation limitant les conflits d’intérêts, codes de conduite) ; de systèmes transparents de passation de marchés publics ; et d’une poursuite effective des cas de corruption.

    L’évaluation du risque au sein du système politique
    Basé aux environs de Syracuse, dans l’Etat de New York aux Etats-Unis, le groupe «Political Risk Services» (PRS) qui travaille depuis sa fondation en 1979 sur l’analyse du risque politique, est la 3e source ayant enquêté sur l’Algérie. Depuis 1980, le Guide international sur le risque pays (ICRG) propose chaque mois des évaluations du risque politique, économique et financier dans des pays ou territoires jouant un rôle majeur dans l’économie mondiale. Ce guide couvre désormais 140 pays ou territoires. Les évaluations proposées sont la base d’un système d’alerte en amont sur les opportunités et les dangers potentiels pour chaque pays. L’équipe travaillant sur ce guide rassemble des informations dans le domaine politique et les convertit en points de risques en se basant sur un modèle d’évaluation systématique. L’évaluation du risque politique, aux côtés d’autres informations d’ordre politique, constitue la base de la notation du risque de l’ICRG. L’utilisateur peut ainsi vérifier ces données afin de comparer la notation avec sa propre évaluation ou avec d’autres systèmes de notation du risque.

    Existe-t-il des fonds spécifiques pour lesquels il n’est pas nécessaire de rendre de comptes ?
    4e source pour l’Algérie : l’Economist Intelligence Unit (EIU) qui a été créée en 1946 en tant qu’organe de recherche du journal The Economist. Elle est depuis devenue une entreprise internationale de recherche et de conseil proposant des renseignements dans le domaine économique pour les décideurs politiques partout dans le monde. 650 analystes travaillent à plein temps dans plus de 200 pays et territoires. Voici les questions liées à la corruption lors de l’enquête : existe-t-il des procédures claires et des modalités de reddition de comptes pour diriger l’allocation des fonds publics et leur utilisation ?
    Des fonds publics sont-ils détournés par des membres du gouvernement ou des fonctionnaires pour servir des intérêts privés ou partisans ? Existe-t-il des fonds spécifiques pour lesquels il n’est pas nécessaire de rendre des comptes ?
    Existe-t-il, de manière générale, des abus de ressources publiques ? Sommes-nous en présence d’une fonction publique professionnelle, ou bien de nombreux fonctionnaires sont-ils au contraire directement nommés par le pouvoir politique ? Existe-t-il un organisme indépendant qui contrôle la gestion des finances publiques ?
    Existe-t-il un pouvoir judiciaire indépendant habilité à poursuivre les membres du gouvernement et les fonctionnaires pour d’éventuels abus ? Existe-t-il une tradition de versement de pots-de-vin pour s’assurer un réseau et obtenir des faveurs ?

    La corruption politique en haute sphère
    Enfin la 5e et dernière enquête dont a fait l’objet l’Algérie a été dirigée par IHS Global Insight : c’est une entreprise internationale (fondée en 1959) d’information sectorielle qui emploie plus de 5 100 personnes dans plus de 30 pays du monde. Global Insight fournit un vaste ensemble de services en ligne couvrant l’analyse macroéconomique, l’analyse risque pays et l’analyse de secteurs spécifiques. Global Insight fournit un vaste ensemble de services en ligne couvrant l’analyse macroéconomique, l’analyse risque pays et l’analyse de secteurs spécifiques.
    Le système de notation du risque pays de Global Insight fonctionne depuis 1999 et offre une analyse des risques basée sur six facteurs dans 204 pays ou territoires. Ces six facteurs concernent les risques en matière politique, économique, institutionnelle, fiscale, opérationnelle et sécuritaire. La note du risque de corruption qu’utilise l’indice de perception de la corruption est tirée en grande partie de l’évaluation du risque opérationnel, mais fait également appel aux contributions des experts nationaux pour l’analyse des autres domaines de risque.
    Les évaluations sont réalisées en interne par plus de 100 spécialistes de pays, qui s’appuient également sur l’expertise de consultants indépendants, de clients et d’autres contacts dans le pays concerné. Les notes reflètent la perception des experts de Global Insight sur l’ampleur relative du problème dans chaque pays ou territoire. La notation évalue toutes les formes de corruption, du simple versement de pots-de-vin à la corruption politique en haute sphère. La note attribuée à chaque pays ou territoire est basée sur une évaluation qualitative de la corruption au niveau national.
    En recoupant les résultats des 5 enquêtes sur l’Algérie, nous obtenons le très mauvais score de 3,6 sur 10. La convergence de ces résultats donne de la crédibilité à l’IPC. Mais cela n’empêchera pas le pouvoir algérien de crier au complot contre… l’Algérie !
    Djilali Hadjadj



    12 sources de données différentes ont été utilisées pour construire l’IPC 2015

    Dans la liste ci-dessous de ces sources, nous indiquons la spécialité et l’indicateur propres à chacune de ces sources et l’année de l’enquête.
    1. Notations de la gouvernance - Banque africaine de développement - 2014
    2. Indicateurs de gouvernance durable - Fondation Bertelsmann - 2015
    3. Indice de transformation - Fondation Bertelsmann - 2016
    4. Notations des risques pays 2015 - «Economist Intelligence Unit»
    5. Rapport sur les nations en transition - «Freedom House» - 2015
    6. Notations des risques pays 2014 - «Global Insight»
    7. Rapport annuel sur la compétitivité - «IMD» - 2015
    8. Analyse des pays asiatiques - «Political and Economic Risk Consultancy» - 2015
    9. Guide international des risques pays 2015 - « Political Risk Services»
    10. Evaluation des performances politiques et institutionnelles des pays - «Banque mondiale» - 2014
    11. Enquête d’opinion auprès des cadres dirigeants - «Forum économique mondial» - 2015
    12. Indice de l’Etat de droit - «Projet de justice mondiale» - 2015.
  • invité - Samedi 30 Janvier 2016 13:22
    Ce pourquoi l’Algérie n’est pas encore une démocratie

    Tribune Libre - Ait Benali Boubekeur

    Même si la question paraît compliquée, la démonstration n’est pas pour autant difficile à faire. En effet, la condition sine qua non pour que l’Algérie se rapproche du modèle démocratique consiste à instaurer une culture de débat contradictoire et réunir les conditions nécessaires pour que l’alternance au pouvoir ne menace pas la stabilité des institutions.

    Or, la polémique récente, enclenchée par Khaled Nezzar, démontre que la société n’est pas prête à accueillir un tel débat. D’ailleurs, le débat sur les questions douloureuses échappe entièrement au contrôle du peuple. Bien qu’on puisse commenter les déclarations des uns et des autres, personne ne sait comment le débat va évoluer, ni qui donne le ton et surtout à quel moment on siffle la fin de la récréation. Et pourtant, s’il y a une chose dont le pays a vraiment besoin, c’est de crever l’abcès.

    De toute évidence, comme tous les pays qui ont vécu des périodes agitées de leur histoire, l’Algérie n’échappe pas à la règle. Et c’est justement là où intervient l’utilité du débat. Ainsi, pour ne pas tomber dans les erreurs du passé, les Algériens doivent savoir, par exemple, dans quelle condition a été sabordé le processus démocratique ?

    De la même manière, une autre question aussi pertinente que la première doit se poser : pourquoi le pays qui a payé sa libération au prix du sang de ses meilleurs fils est spolié de sa victoire ? Bien évidemment, les tenants du régime vont assimiler toute quête de vérité à une entreprise de déstabilisation. Mais, si cette quête a pour but de connaître la vérité et ne s’accompagne d'aucune velléité de règlement de comptes, cela contribuera, au contraire, à réconcilier les Algériens avec leurs dirigeants et avec la politique.

    Quoi qu’il en soit, la connaissance des faits marquants de notre histoire ne peut être qu’un atout. En effet, on ne peut pas remonter le temps jusqu’à 1962 pour empêcher les putschistes de prendre le pouvoir, mais une telle connaissance sensibilisera les Algériens sur les procédés à bannir en vue de parvenir au pouvoir. Pour cela, il faudrait que le débat soit encadré et ne débouche pas sur des dérapages.

    En France, par exemple, lors des débats sur la déchéance de la nationalité pour les binationaux impliqués dans des actes terroristes, les spécialistes, invités sur les plateaux de télévision, expliquent que cette loi était en vigueur sous le régime de Vichy. Il parait que le général de Gaulle a même été déchu de sa nationalité. Et si on interroge les Français sur cette période, ils la qualifieront de la pire période de leur histoire. Mais, cela n’empêche pas le débat. Au contraire, en éclairant le citoyen sur les enjeux du moment, son choix ne peut-être qu’une adhésion au projet.

    Or, en Algérie, ceux qui veillent à ce que la vérité ne voie pas le jour –il parait que les généraux Nezzar et Betchine sont sommés de se taire –protègent avant tout leurs postes. La seule fois où il devait y avoir une alternance en 1992 –cela dit, comme l’a démontré Lahouari Addi dans son livre « l’Algérie et la démocratie », le parti vainqueur ne remettait pas en cause le modèle, mais il voulait le supplanter –, il y a eu l’interruption du processus démocratique. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’avec ce coup de force disparaît tout l’espoir de toute alternance.

    Quel est le bilan de ses 24 dernières années ? L’Algérie est évidemment passée par des moments difficiles, mais elle a connu une conjoncture financière très favorable. En 15 ans, sous la présidence de Bouteflika, l’Algérie a engrangé près de 1000M$. Hélas, une année après l’effondrement des prix du pétrole, les dirigeants recourent à l’austérité. Au lieu de rendre le tablier en avouant son échec, le régime se croit l’unique alternative. Et c’est justement cette conception du pouvoir qui est le véritable problème politique en Algérie.

    Pour conclure, il va de soi que les sociétés démocratiques se jaugent à leur capacité à organiser le débat contradictoire. Au jour d’aujourd’hui, l’Algérie est loin de répondre à cette exigence démocratique. Pour corroborer cette thèse, il faut rappeler le climat dans lequel s’est déroulé le vote de la loi de finances 2016. En effet, l’opposition cherche par tous les moyens à empêcher le vote de la loi.

    Or, dans un régime démocratique, la minorité d’aujourd’hui n’empêche pas, car il sait qu’elle pourra devenir la majorité de demain. Mais, étant donné que la majorité en Algérie est appelée à gouverner indéfiniment, l’opposition tente de sauver certains acquis en essayant de constituer un rempart contre une politique pénalisante pour les plus démunis.

    17 janvier 2016
  • MIMIH - Vendredi 29 Janvier 2016 21:33
    OU VA L'ARGENT DE L'ALGERIE SELON SI TAHAR MISSOUM :pleure:

    A voir

    الطاهر ميسوم يقصف حداد ويصفه بأمون الجزائر [ قانون الملية] ويتحدى الوزير بوخالفة
    ALM7ROUSSA DZ


    Pour les internautes qui ne connaissent pas LE DTROIT

    A voir

    Détroit, ville sinistrée, sort du gouffre
    AFP
  • MIMIH - Jeudi 21 Janvier 2016 21:01
    La loi de finances 2016, l'austerité et les depenses de notre cher pays

    A voir

    232 - Allo oui / Oui آلو - Mohamed Khassani & Nassim Haddouche & Imad Benchenni
    Allo oui | Oui آلو [Officielle]


    LAZEM DEDOU EXEMPLE MEN 3AND HADOU

    A voir

    عندما يذهب الشعب التايواني الى العمل في الصباح تحسبه وكأنه نمل
    Anass Net


    ALLAH IJIB AL KHEIR FI BLAD BELKHEIR
  • MIMIH - Dimanche 17 Janvier 2016 16:19
    On souhaite que du bien pour l'algerie

    A voir

    AMAR SAADANI. ALI BEN FLIS. AHMED OUYAHYA . AU JT FOU 22.06.2015
    DZ.COM
  • MIMIH - Vendredi 15 Janvier 2016 22:11
    A voir

    Emirats Arabes Unis : Architecture au futur
    Ina Voyages
  • MIMIH - Vendredi 15 Janvier 2016 22:07
    SI TAHAR MISSOUME député a l'apn a demandé aux ministres des finances et de l'hydrocarbure LA RECETTE DU GAZ
    WINE RAHOUM IROUHOU DRAHEM AL GAZ
    GALEK RANA ANCHOUFOU RIR DRAHEM LE PETROLE

    A voir

    الطاهر ميسوم 2016-Tahar Missoum‏ - من جديد يقصف وزارة الثقافة
    Adel Rahali

    YA SI MISSOUME LA REPONSE RAHI 3ANHOUM AHNA 3LINA ATAKACHOUF BERK
  • MIMIH - Jeudi 14 Janvier 2016 21:00
    La loi de finance 2016 TOUT va BIEN YA L'ALGERIE.

    A voir

    225 - Allo oui / Oui آلو - Mohamed Khassani & Nassim Haddouche & Imad Benchenni
    MehdiTv ᴴᴰ
  • MIMIH - Jeudi 14 Janvier 2016 20:28
    ELLE AFFIRME DÉTENIR CONTRE LUI DES ÉLÉMENTS D’UNE EXTRÊME GRAVITÉ

    Hanoune accuse Khelil de «haute trahison»

    La patronne du PT ne lâche visiblement pas l’ex-ministre de l’Energie et des Mines, Chakib Khelil. Elle a été, cette fois-ci, au-delà de sa traditionnelle accusation «générique», en affirmant, cette fois-ci, détenir des «éléments d’une extrême gravité sur ses transactions maffieuses à l’international prouvant sa «haute trahison».
    M. Kebci - Alger (Le Soir) - Plus que cela, selon Louisa Hanoune qui faisait, hier lundi, le bilan des travaux de deux jours du comité central du parti, l’ex-ministre, réputé un des plus proches du président de la République, entretenait des «rapports avec les services de renseignements d’un autre pays». Et d’ajouter : «Chakib Khelil s’est comporté comme un ennemi du pays». Invitée à aller un peu plus en détail dans ses nouvelles charges, elle refusera cet exercice par souci, expliquera-t-elle, de «ne pas influencer l’affaire, toujours en cours devant la justice». Mais pas que cette raison puisqu’elle avouera s’en tenir, certainement par «tactique», à ce stade d’accusation, «les instances du parti décideront de la suite à leur donner en temps opportun», poursuivra-t-elle.
    Elle promettra, cependant, «bien des surprises» à un journal et une télévision éponyme contre lesquels elle a intenté des actions judiciaires suite à la campagne menée contre elle, sa famille et son parti sous l’instigation, selon elle, «d’un ministre du RND». S’exprimant, par ailleurs, sur l’avant-projet de révision constitutionnelle, la secrétaire générale du PT estime qu’il ne correspond pas à la «profonde réforme institutionnelle promise par le président de la République depuis 2011 quand il s’est engagée à s’en remettre au peuple pour qu’il exerce sa souveraineté». Pour elle, ledit texte ne consacre que «d’éparses avancées contrariées par d’autres antidémocratiques, les amendements apportés ne participent pas à une volonté de démocratisation du système de gouvernance». Plus que cela, Hanoune dira relever dans ce texte «fourre-tout», des contradictions qui s’annulent mutuellement parfois et qui diminuent de «l’importance d’autres dispositions proposées, d’autres fois».
    Et de considérer que ce processus de réformes politique était biaisé dès le départ car, considérera-t-elle, il aurait fallu commencer par une nouvelle Constitution consensuelle de laquelle devait déboucher la réforme du reste des textes et des lois subalternes.
    M. K.
  • MIMIH - Vendredi 8 Janvier 2016 21:33
    YAW RANI KHAYEF IJI ANHAR ADEBCHA OU MA ATSAHELNACHE

    A voir

    swelah
    sam9041's channel


    GALOU NASS AZMANE

    AL GUELIL IMOUTE FELILE
  • MIMIH - Samedi 26 Décembre 2015 20:14
    Hamid Grine s’adresse aux chaînes télévisées ::
    «Que celles ne disposant pas d’agrément arrêtent d’émettre»


    En visite de travail à Biskra, le ministre de la Communication «a invité» jeudi les chaînes télévisées n’ayant pas d’agrément à arrêter d’émettre. Indiquant que le secteur qu’il représente rejette catégoriquement cette logique du «fait accompli», H. Grine a déclaré qu’il serait «préférable» que les chaînes de télévision n’ayant pas obtenu un agrément «n’émettent plus».
    Tout en ajoutant qu’elles «doivent présenter un dossier» en vue de l’obtention de cet agrément. Ceci dit, qu’en l’attente de l’aboutissement de cette procédure, ces chaînes «doivent arrêter d’émettre».
    Toujours est-il de rappeler que depuis «l’ouverture» du secteur de l’audiovisuel en 2012 et de l’accord d’accréditation en 2013, aucune des chaînes télévisées qui émettent aujourd’hui ne dispose d’agrément.
    Etant considérées comme des entreprises étrangères, c’est seulement un droit d’ouverture de bureau au niveau d’Alger qui leur a été cédé, sous contraintes. Sachant que Ce sont seulement Chourouk TV, Dzaïr News, Dzaïr TV, Ennahar TV, et KBC TV qui en disposent, à ce jour, sur une quarantaine de chaînes.
    Par ailleurs, si arrêt d’émission il y a, ce sera certainement pour l’ensemble de ces dernières.
    Naouel Boukir
  • MIMIH - Dimanche 29 Novembre 2015 20:56
    Affaire du général Hassan
    Le procès qui scandalise


    Indéniablement, le procès du général Hassan au tribunal militaire d’Oran restera dans les annales de la justice algérienne.

    Me Aït Larbi l’assimile à celui qui a conduit à la condamnation du colonel Chaâbani, il y a 51 ans à Oran. Le général Nezzar va plus loin et qualifie la décision du tribunal militaire de «criminelle».

    L’arrestation de cet ancien responsable de la lutte antiterroriste comme un grand criminel, sa condamnation à la peine maximale sans bénéfice des circonstances atténuantes, balayant d’un trait sa carrière de 51 ans d’actes de bravoure et d’abnégation pour la sauvegarde de la patrie, qui a fait de lui le gradé le plus décoré de l’armée algérienne, sentent le règlement de comptes et donnent au verdict un caractère de châtiment exemplaire aux éventuels contestataires.

    Deux chefs d’inculpation — «infraction aux consignes» et «destruction de document» — ont suffi pour détruire une compétence dont le pays a grandement besoin pour faire face aux nombreuses menaces terroristes qui pèsent lourdement à nos frontières.

    Arrêté par une escouade de gendarmes qui avaient encerclé son domicile dans la nuit du 27 août 2015, le général Hassan a été transféré à Blida en exécution d’un mandat d’arrêt, qui était sous la main du juge depuis des mois, durant lesquels le général a fait plusieurs voyages à l’étranger pour se soigner sans être inquiété à la frontière.

    Déféré devant le juge, la constitution de l’avocat qu’il a choisi, bâtonnier de son état, a été rejetée par le président du tribunal, qui n’a notifié sa décision que des semaines après sans aucune explication. Encore une autre violation du principe du droit à la défense.

    Nombreuses violations de la procédure

    D’autres avocats arrivent et soulèvent de nombreuses violations de la procédure. La plus importante est celle d’entendre comme témoins d’anciens subordonnés du général en leur faisant prêter serment. Une violation qui aurait pu conduire à l’annulation de la procédure, mais cela n’a pas été le cas.

    Quelques jours après le mouvement très controversé dans les rangs de la justice militaire, notamment des procureurs (d’Oran, de Béchar, de Constantine de Blida, pour ne citer que ceux-là), le général Hassan est déféré devant le tribunal militaire d’Oran pour y être jugé. L’audience s’est déroulée à huis clos à la demande du procureur.

    Après une délibération de quelques minutes, le président, M. Boukhari, et ses deux assesseurs, des généraux des forces aériennes et terrestres, décident de faire évacuer de la salle la famille du prévenu, alors que la presse était interdite d’accès y compris aux alentours du tribunal. La décision tombe tard dans nuit.

    Comme l’a qualifié un des avocats du général Hassan, Me Bourayou, le verdict est un véritable châtiment : «A travers le monde, dans ce genre de procès, même si l’on considère que le général est coupable — bien que ce ne soit pas le cas — la raison d’Etat prend toujours le dessus pour déroger un peu à la loi. Or, cela n’a pas été le cas.»

    La convocation du général Toufik refusée

    «Le tribunal a infligé non seulement la peine maximale, mais ce qui est grave, il lui a refusé toutes circonstances atténuantes. La seule chose qu’il a entendue, c’est notre demande de refuser les déclarations sous serment des témoins qui, dans leur majorité, n’ont pas vraiment été à charge. Ils n’ont rien établi de manière formelle», ajoute Me Bourayou.

    Le tribunal a fait appel à des témoins dont les déclarations sont subjectives, alors qu’il a refusé la demande de convocation du général Toufik introduite par Me Aït Larbi. «En joignant cette demande au fond, nous avions compris qu’il allait la rejeter», déclare Me Tayeb Ahmed Touphaly, encore sous le choc du verdict.

    Il précise toutefois qu’il garde l’espoir de voir le procès revenir après le pourvoi en cassation que la défense compte introduire auprès de la Cour suprême.

    Force est de constater que par sa décision, le tribunal militaire d’Oran n’a fait que confirmer que le général Hassan est bel et bien une victime collatérale de la guerre féroce ayant opposé le clan de la Présidence au patron du DRS, le général Toufik.

    L’incarcération et la poursuite du général Hassan ont été décidées pour pousser le premier responsable du DRS à la sortie, une sorte de sanction contre le fait que son département ait enquêté sur les affaires de corruption au centre desquelles se trouvent les hommes les plus proches du Président, à l’image de Chakib Khelil, ex-ministre de l’Energie, mais aussi des membres de sa famille.

    Même la lettre que le général Toufik a envoyée au Président, plaidant la cause du général Hassan qui agissait sous ses ordres et, de ce fait, en assume toutes les actions, n’a pas eu de réponse. La machine de la vengeance a eu raison de l’homme qui a grandement participé à sauver le pays du péril terroriste.


    Salima Tlemçani
  • MIMIH - Vendredi 16 Octobre 2015 22:04
    guest - Jeudi 15 Octobre 2015 19:55

    Les homosexuels algériens allumeront des bougies ce vendredi soir à 20 H

    SUIVRE : ABU NAWAS, ALGER; LGBT, ALGERIE, HOMOSEXUALITÉ EN ALGÉRIE

    Fidèle à son habitude depuis maintenant huit ans, la communauté des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queers et intersexes algériens allumera ce 10 octobre une bougie pour fêter la journée nationale “Ten Ten”.
    La communauté des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres, queers et intersexes algériens ne désespère pas que sa condition puisse un jour changer en Algérie. Cette journée nationale a été instaurée il y a 8 ans dans l’espoir que la société algérienne puisse reconnaître la communauté homosexuelle et ne plus la stigmatiser et l’oppresser, nous apprend l’association Abu Nawas, qui se définit comme un “groupe de militants Algériens pour la cause LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuel(le)s et Transgenres)”. Un groupe qui agit dans la clandestinité “faute d’agrément et étant donné que le code pénal Algérien considère toujours l’homosexualité comme étant un crime passible d’une peine d’emprisonnement assortie d’une amende”, précise la même source.
    Abu Nawas se bat pour qu’un jour le code pénal algérien, qui criminalise l’homosexualité à travers ses articles 333 et 338, change. Dans un communiqué de presse, l’association appelle tous les Algériens à allumer une bougie ce vendredi 10 octobre à 20 H, en “hommage et commémoration, pour exprimer leur solidarité et leur soutien au combat que livre cette frange de la société stigmatisée en Algérie au nom des valeurs morales et religieuses”.
    Dans son communiqué, le groupe Abu Nawas salue le combat de tous ses membres, affirmant que grâce à leur volonté et leur courage ils sont arrivés à vaincre la peur qui les empêchait, au début de leur combat, d’allumer des bougies, de crainte de révéler leur identité. Le prochain défi de la communauté LGBT en Algérie sera de se faire connaître auprès de la société toute entière. Le défi est de taille, mais le groupe Abu Nawas est convaincu que le combat mérite un l’engagement continu.
  • invité - Jeudi 15 Octobre 2015 19:55
    Guerre politique en Algérie : Saïd Bouteflika répond à Hicham Aboud

    PAR FOUÂD HARIT

    Saïd Bouteflika au côté de son frère, le président Abdelaziz Bouteflika

    Accusé de « perversion sexuelle, trafic de drogue et corruption », le frère cadet du Président Abdelaziz Bouteflika, Saïd, est sorti de son silence pour répondre à Hicham Aboud, ex-agent des services de renseignements et actuel patron de presse.

    A l’approche de l’élection présidentielle en Algérie, la guerre des clans entre pro et anti-Bouteflika a pris une toute autre tournure ce lundi. Le frère cadet du Président Abdelaziz Bouteflika, Saïd, qui ne s’était pas exprimé publiquement depuis 15 ans, a rompu le silence. Il répond à la missive d’Hicham Aboud, un ancien agent des services de renseignements reconverti en patron de presse. Ce dernier a écrit une lettre à Saïd Bouteflika dans laquelle il lui demande de s’expliquer au sujet de ses pratiques sexuelles et de présumées affaires de « corruption » et de « trafic de drogue » auxquels il serait lié.

    « Les accusations portées dans cette lettre sont tellement graves qu’elles ne touchent plus uniquement à ma personne, mais portent atteinte à tout un peuple qui n’accepterait pas que le frère du Président puisse avoir de tels comportements », a déclaré Saïd Bouteflika au site d’information algérien Tout sur l’Algérie (TSA) qui a publié la lettre.

    « Je ne vais pas me taire et je vais porter plainte contre Hicham Aboud que j’ai jamais eu à connaître (sic) », affirme le frère du dirigeant algérien.

    « Homosexualité et sadomasochisme »

    Dans sa lettre, Hicham Aboud, qui affirme vouloir apporter des « dernières touches à un ouvrage littéraire » qu’il consacre à l’Algérie sous « le régime des Bouteflika », interroge Saïd Bouteflika sur ses pratiques sexuelles, notamment homosexualité et sadomasochisme. Il poursuit sur sa supposée consommation excessive d’alcool et de stupéfiant.

    Hicham Aboud demande à Saïd Bouteflika de lui confirmer sa présumée relation qu’il aurait entretenu avec un diplomate lors d’un séjour en France. Il précise entre parenthèse : « je n’évoquerai pas sa nationalité dans le livre par respect à l’Algérie ».

    L’auteur de la lettre souhaite que le frère du président lui fournisse les détails de sa vie sexuelle : « Je vous demande de bien vouloir me fournir quelques explications sur ce sujet et n’estimez-vous pas qu’il y a quelque exagération de la part de certains témoins qui parlent de perversion sexuelle et de sadomasochisme dont vous seriez un fervent adepte ? » interroge, avec une innocence feinte, l’"écrivain-journaliste".

    Affaire Sonatrach, autoroute Est-Ouest...

    L’ancien propriétaire des quotidiens Mon Journal et Djaridati, interdits de publication, demande ensuite des comptes à Saïd Bouteflika sur des faits de corruption dont il se serait rendu coupable. A en croire les témoignages recueillis par Hicham Aboud, le destinataire de sa lettre serait impliqué dans les scandales de l’affaire Sonatrach, de l’autoroute Est-Ouest, « et bien d’autres »…

    Hicham Aboud se défend toutefois de prendre part à la guerre politique que se livrent les pro et anti-Bouteflika. Une affirmation remise en doute par de nombreux observateurs de la vie politique algérienne, comme l’affaire France 24. « Cette charge particulièrement directe ne serait pas sans lien avec la guerre que se livrent le clan du chef de l’Etat Abdelaziz Bouteflika et celui s’opposant à sa possible candidature à la Présidentielle d’avril 2014 », écrit le média français.
  • MIMIH - Mercredi 14 Octobre 2015 20:14
    La politique en algerie est un grand myster.

    Il y'a un grand vieux qui ma dit un jour.

    Mon fils la politique en ressemble a un poteau d’éclairage publique TEDENA LIH YAHERGUEK ATBA3ED 3LIH TEG3OUD FI DELMA.

    Pour comprendre bien je vous dedie cette chasson de notre cher patrimoine qui parle sur ce temps.

    A voir

    Salim Chaoui & Saléha - Ya Salah (live)
    musical tv

    Les jours se défilent entre SALAH , AHMED, SAID...ETC ALLAH IJIB AL KHEIR.

    A qui sera LA FIN ALLAH YA3LEM.
  • ALILOU - Jeudi 25 Juin 2015 22:48
    L'algerie entre hier et aujourd'hui
    allah ijib alkheir

    A voir

    1 - Houari Boumédiène - Sévère contre la mauvaise gestion, le Laissez-Aller et le fainéantisme.
    Mabrouk Ali


    2- Serika En Algérie . Anes Tina . السرقة في الجزائر
    Anes Tina

    ALLAH YERHAM ARJAL LI MATOU 3LA HAD LEBLAD
  • MIMIH - Jeudi 6 Novembre 2014 17:10
    J'ai trouvé cette article d'un visionnaire MAROCAIN :019: ou d'un stategiste en arts de guerres allah ya3lem.

    Lisez que prepart on pour l'algerie.

    Visions 2014-2020 : Quel avenir pour l'Algérie et pour le Maroc ?

    Ahmed Addou - publié le Vendredi 8 Novembre 2013 à 11:26

    Ahmed Addou livre dans la chronique ci-dessous, sa "prospective", sa vision, voir son rêve, du duo maghrébin le plus en vue, à savoir le Maroc et l'Algérie, dans des géométries qui émanent de son imaginaire. La rédaction de Lemag livre à ses lecteurs, l'écrit dans son intégralité, dont seul est responsable son auteur (Lemag.ma).

    A PROXIMITÉ
    Conflit algéro-marocain : Jusqu’à quand la politique du wait and see ?
    L’orgueil d'Iblis
    Persona Non Grata
    Défaitiste n'est pas marocain
    L’important, c’est le cœur

    2014 :

    *Découverte au Maroc d’importants gisements de pétrole, de gaz naturel, de phosphate, de fer, d’or, et ce, dans toutes les régions du royaume.
    *Violent tremblement de terre en Algérie provoquant de grandes pertes humaines et des dégâts matériels considérables.
    *Pluies torrentielles suivies d’inondations à Tindouf. Les camps de Lahmada sont complètement balayés. Aucun survivant. Le polisario n’existe plus.
    *Décès du président algérien Abdelaziz Bouteflika.
    *Les militaires s’emparent de nouveau du pouvoir et instaurent l’état d’urgence dans toutes les wilayas.
    *Soulèvement populaire contre la junte militaire.Manifestations violentes pour protester contre les restrictions des libertés. Émeutes suivies d’actions de pillage et de vandalisme à Alger, à Constantine, à Oran, à Sétif,à Tiaret, à Annaba, à Tizi ouzou, à Tlemcen,à Blida,à Batna,à Biskra,à Adrar, à Chlef, à Bejaïa, à Skikda ,à Tipaza, à Tamanrasset, à Mascara, à M’sila ,à Sidi Bel Abbès,à Ouargla,à Touggourt,à Mostaganem, à Relizane, à Jijel, à Bouira, à Al Beyadh, à Mila, à Aïn Temouchent, à Khenchela ,à Médéa……
    *Les militaires n’arrivent plus à contrôler la situation. Une nouvelle guerre civile éclate dans le pays.
    *Des dizaines de puits de pétrole sont incendiés et plusieurs gazoducs sont endommagés par des groupes armés. Les exportations de pétrole et de gaz cessent. Les caisses de l’Etat sont vides et la crise économique s’accentue (chômage en hausse/pénurie de pétrole, de gaz, des denrées alimentaires et des médicaments…..).
    *Des milliers de réfugiés algériens trouvent asile au Maroc (Oujda/Ahfir/ Saïdia/Figuig/ Smara/ Laayoune….).
    *L’ONU envoie en Algérie des forces de maintien de la paix auxquelles participe le Maroc.
    *Le Maroc envoie des aides humanitaires à destination de l’Algérie.

    2015 :

    *Retour au calme en Algérie.
    *Balkanisation de l’Algérie donnant lieu à cinq états autonomes.

    2016 :

    *Organisation d’un référendum en Algérie à l’issue duquel les 5 états autonomes optent à 99% pour leur rattachement au royaume du Maroc.
    *Le souverain alaouite MOHAMMED VI devient le ROI de tous les marocains et de tous les algériens.
    *Fusion entre l’Algérie et le Maroc qui deviennent AL MAGHRIB avec comme nouvelle capitale du royaume OUJDA

    2016-2018 :

    *La Mauritanie, la Tunisie, la Libye, le Sénégal et le Mali demandent leur intégration à AL MAGHRIB.

    2020 :

    *AL MAGHRIB devient une puissance économique et militaire incontournable sur la scène internationale.
    *L’Espagne restitue Mellilia et Sebta à AL MAGHRIB et signe avec ce dernier un traité de non-agression et de coopération.


    « و ما ذلك على الله بعزيز »


    AHMED ADDOU
    LE VISIONNAIRE

    Ce dou3a veut dire que ce n'est pas une vision mais c'est un plan, tous veulent l'algerie , mais il y'a le bon dieu qui est avec l'algerie.

    Et moi je lui dis A CE FOU, si l'homme a la paix et la terre en main c'est le plus important pour lui, chaqu'un est responsable sur ses faits et la justice du dieu et la plus forte mais touche pas a mon algerie.

    VIVE LE PEUPLE ALGERIEN UNIT ET VIVE NOTRE ANP

    ALLAHOUMA IDROUB ADALIMINA BI ADALIMINA WA AKHRIJNA MIN BAYNIHIM MOUNTASSIRINE.

    AMINE.
  • ALGERIAN - Jeudi 6 Novembre 2014 13:22
    Je pense que l'algerie a besoin des hommes économistes pas des hommes gaspilleurs d'argent.

    On a déclaré dernièrement qu'il y'a un gaspillage d'argent en algerie et que le budget de l'algerie équivaut le budget de 3 pays africains, vous dite que lait en sachet n'est pas suffisant pour tous les algeriens, ou est l'argent ?
  • MIMIH - Mercredi 5 Novembre 2014 12:45
    En algerie on organise les fêtes culturelles internationales qui coutent des milliards a notre trésor pour rien et on est le seul pays qui organise ses fêtes encore et encore, tous les pays du monde on vu la crise économique de loin, mais les algeriens PAS DE LAIT EN SACHET SUFFISANT POUR TOUS LES CITOYEN MAIS LES FETES SONT LA.

    VIVE L'ALGERIE .
  • ALILOU - Samedi 20 Septembre 2014 16:09
    Téléphones portables
    Les champs électroma-gnétiques sont cancérigènes


    Les champs éléctromagnetiques produits par les téléphones portables sont classés par le Centre international de recherche sur le cancer comme facteur oncogène et cancérigène, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), de 2014.

    Des chercheurs ont mis en évidence le risque accru de tumeurs pour les utilisateurs, dépassant les 30 minutes par jour, notamment les tumeurs du cerveau. Le même rapport souligne que l’utilisation fréquente des téléphones portables augmente le risque de gliome de 40% (tumeur cérébrale la plus fréquente et virulente) et de méningiome de 15% (tumeur extra-axial se développant à partir du revêtement méningé). Les scientifiques ont suivi un groupe de 450 personnes atteintes du cancer du cerveau et les ont interrogées sur la fréquence de l’utilisation du téléphone portable, a précisé le rapport, ajoutant que chez l’ensemble des personnes atteintes de gliome, le temps passé, quotidiennement, au téléphone dépassait les 30 minutes ou 15 heures d’appels par mois.

    L’étude révèle également que ce sont les personnes faisant un usage professionnel de leurs téléphones, en milieu urbain, qui sont le plus exposées au risque. Il est donc avéré, d’après les résultats de l’étude, que le cerveau n’est pas immunisé contre les ondes électromagnétiques émises par les téléphones portables. Sur le même sujet, le docteur Djamel Eddine Oulmane, consultant en communication de la santé, a expliqué que les ondes émises par les téléphones portables sont des ondes artificielles, précisant que l’interaction avec le liquide céphalo-rachidien présente un danger pour la santé.

    Le docteur Oulmane pointe également du doigt la responsabilité des antennes relais dans l’émission d’ondes électromagnetiques et leurs effets négatifs sur l’organisme. Il a aussi expliqué que les ondes transmises par les portables attaquent les cellules et perturbent leurs fonctionnements, conduisant à des mutations au sein de leurs génomes, à l’origine des cancers. Le risque le plus élevé est enregistré chez les enfants, a ajouté le spécialiste, notant que leurs cellules sont plus sensibles et en pleine croissance. En plus de la responsabilité dans les cancers, le docteur Oulmane a cité d’autres effets négatifs sur la santé, comme la dépression, les migraines, les troubles du sommeil, les vertiges, les troubles cardiaques, les maladies de la peau et autres.
  • ALILOU - Vendredi 19 Septembre 2014 18:53
    AHMED OUYAHIA ET SAID WELFAHEM YEFHEM.
  • الرهان - Mercredi 16 Avril 2014 12:29
    في كل قطر إسلامي مؤسسات كافرة أو عميلة ضخمة جدا يصعب تصور حجمها ولا نعرف عنها إلا القليل أو قوى عاتية فروعها في أرضنا وجذورها في الخارج.
  • MIMIH - Mercredi 16 Avril 2014 09:40
    L'ALGERIE AVANT TOUT

    GALEK

    ATLEMHOUM ALMAIDA OU ATFERAK HOUM ALFAIDA
  • Un thenois - Vendredi 8 Novembre 2013 22:09
    A Observateur
    Cette initiative a été massivement suivie par les algeriens.
    Malheureusement il ya ceux qui ne savent pas c'est quoi piétiner L'HONNEUR et de L'AMOUR PROPRE des algeriens.
  • Observateur - Vendredi 8 Novembre 2013 20:21
    Aujourd'hui c'est une journée des drapeaux nationales sur les terraces, balcons...etc des maisons des algeriens.
    Je pense que c'est un message des ALGERIENS au roi du maroc.
    L'honneur et l'orgueil vont communément de compagnie!