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  • MIMIH - Mardi 18 Février 2014 17:32
    La vieille prison de serkadji vers une fermeture définitive, l’état va la transformer en musé.
  • Guest - Dimanche 9 Février 2014 08:43
    Ouverture de la 2e édition «Fikra» à Alger : En attendant du concret

    Nourreddine Melikechi, physicien atomique et chercheur à la NASA, est venu des USA pour partager son expérience, ses connaissances et son savoir-faire, avec 31 autres personnalités ayant accepté de participer à la deuxième édition de la conférence «Fikra», qui s'est ouverte, hier, à l'hôtel Aurassi, à Alger.
    Cette conférence-débat, parrainée par le Premier ministre Abdelmalek Sellal, en partenariat avec Djezzy, se poursuivra jusqu'à aujourd'hui avec la présentation d'expériences qui ont comme clé de réussite «l'optimisme», thème retenu pour cette édition. Si les initiateurs de «Fikra» se sont beaucoup focalisés sur «l'optimisme», Nourreddine Melikechi, chercheur à la NASA et professeur à «Delaware State University», s'est montré plus pragmatique, affirmant que sa contribution ou celle de sa «fondation des sciences», créée par Elias Zerhouni, doit apporter du concret. Cette fondation de sciences, d'éducation et de technologie, créée par un groupe d'Algériens établis aux Etats-Unis depuis 3 ou 4 ans, devrait être «réactivée» dans les jours à venir. C'est ce qu'a affirmé Nourredine Melikechi qui dit «on a repris les contacts, mais cette fois, on veut des actions concrètes». Sans vouloir revenir en arrière, «bilan de trois années précédentes», l'orateur a affirmé que la fondation a des projets en étude qui sont tout à fait réalisables. Il évoquera « la préparation contre les tremblements de terre», «projet contre le cancer» et «l'éducation, la recherche et la technologie». Il affirme que ces projets sont à la dernière phase de réflexion entre les membres de la fondation aux Etats-Unis et pour leur éventuel lancement en Algérie. Et d'insister «pour des actions concrètes, s'il n'y aura pas d'actions concrètes, on perd notre temps». Il conclut «on peut arriver, mais il faut qu'on trouve un partenaire qui soit sérieux pour lancer des actions concrétisables», insiste-t-il.

    L'ART ALGERIEN ET MAGHREBIN VULGARISE PAR UNE ENTREPRISE SAOUDIENNE

    L'autre intervenant qui a attiré l'attention de l'assistance est le sultan Sooud Al-Qassemi, journaliste et fondateur de la fondation «Barjeel Art». L'orateur a surpris l'assistance en citant des grandes œuvres d'art appartenant à des Algériens que peut-être les Algériens eux-mêmes ne connaissent pas et qui sont aujourd'hui exposées à travers le monde, par le biais de cette fondation. L'orateur a précisé que sa fondation soutient l'art arabe, y compris l'art magrébin et algérien. «Nous avons 500 pièces, et nous avons à peu prés 12 artistes algériens, chaque artiste a une moyenne de 4 à 5 pièces d'art, reflétant la culture amazighe, arabo-andalouse et arabo-musulmane de l'Algérie et du Maghreb en général».

    Le but recherché par cette fondation est l'échange culturel à l'international.

    «On essaye d'envoyer des artistes algériens ou des pièces d'art à travers le monde, à Singapour, aux Emirats et dans d'autres pays du monde pour que le monde ait une idée sur l'art algérien et arabe en général», dira-t-il.

    Le principe est de collecter des pièces d'art appartenant à des artistes arabes et algériens pour les exposer dans les grands musées d'art dans le monde. «Le Musée d'art de Bruxelles, Le musée de Singapour, des musées en Allemagne, France, en Italie, en Amérique, je dis bien partout dans le monde». La fondation veut créer des ponts directs avec les Algériens. «On passe généralement par l'Europe pour découvrir des talents algériens, en raison de la langue - l'usage de l'anglais et l'arabe par la fondation - mais on compte rencontrer des officiels algériens pour faciliter le contact direct». Il poursuit, «le but est de permettre à tous les artistes de faire connaître leurs œuvres. L'intervenant a cité les oeuvres du grand peintre algérien M'hamed Issiakhem, de Mohamed Khedda ainsi que d'autres oeuvres artistiques sur la liberté d'expression. A noter que la fondation achète des pièces d'art et participe avec dans les grands musées du monde. «Ces pièces ne seront jamais revendues», nous précise le sultan Sooud Al-Qassemi.
  • MIMIH - Samedi 8 Février 2014 18:04
    Je suis contre ce qui se passe a GARDHAIA, l'etat doit frapper avec un bras de fer celui qui veut déstabiliser le pays.

    arabes,kabyles, mzab,chaoui,targui,....etc

    ON EST TOUS DES ALGERIENS ET VIVE L'ALGERIE UNIT
  • Ménervillois - Lundi 4 Novembre 2013 20:58
    Bonsoir,
    Je viens de rentrer à la maison, et quel bonheur de trouver enfin du monde!
    L'article: "Le rêve algérien" dont vient de nous faire part Mr Mazoutier m'a beaucoup plu, même si ce n'est pas une nouveauté.
    Bref,
    Pour se faire interpréter un rêve par un "illuminator",il ne suffit plus de le lui raconter; il est impératif d'indiquer aussi le lieu ou` il a été fait.
    Que nous soyons en Algérie ou (par exemple)aux USA/Japon,le même rêve a deux significations diamétralement opposées.Elles n'ont aucun dénominateur commun.
    Et Mr Chawki Amari vient de nous faire en détails une excellente démonstration. Bravo Mr!
    Le rêve dont nous parle notre journaliste est en réalité ce que vivent réellement ces bandes d'ARRIVISTES,sans foi ni loi.
    Ces vautours ont dû certainement lire le livre satanique:"Les chemins tortueux de la réussite".
    Quant-aux autres (les rêveurs!),leur "réalité",c'est ce cauchemar qui n'en finit pas.
    Croire que leur "rêve" rêvé devient un jour une "réalité" de la REALITE est une utopie, sauf s'ils ont bien lu et arrivés à résoudre les énigmes que recèle le livre cité ci-dessus.
    Le Grand Rêve de nos Valeureux Chouhada leur a été usurpé; et ça, c'est une "réalité" et non...un "rêve"!
    Aujourd'hui,tous les pinceaux se sont entremêlés.
    L'honorable citoyen ne voit plus clair.
    Quelle voie,lui reste-t-il,se demande-t-il,pour réussir dans sa vie HONNETEMENT?
    C'est bien dommage que nous soyons arrivés,cinquante ans après l'indépendance,chèrement acquise,à cette malheureuse situation.
    Allah yarham Echouhada
    Bonne soirée,
  • bekkar - Lundi 4 Novembre 2013 17:29
    Bonsoir Mr Mazoutier!
    Oui, je sais L’Algérie c'est Byzance et le rêve expliqué , détaille par le journaliste c'est le " rêve" des escrocs et des voleurs mis en oeuvre par des pratiques frauduleuses et infâmes.Ce genre de " papiers " démoralise tout le monde et multiplie le nombre des harragas. Ne pourrait-on pas " voir"de temps en temps le coté positif des choses, relativiser un peu tout ce qui est " noir et triste".Il est aberrant de " faire de la pub à des criminels et passer sous silence le dévouement de personnes qui donnent le meilleur d'eux-même à leur pays.
  • bekkar - Lundi 4 Novembre 2013 15:15
    Mea culpa:

    ....et jour après jour, il devint un chef d’entreprise avisé et compétent .
  • LEKHEL MAZOUTIER - Lundi 4 Novembre 2013 15:13
    Le rêve algérien
    expliqué par Chawki Amari


    Même le pouvoir personnel est forcément un vouloir collectif. En ce sens qu’entre le cauchemar actuel et l’idée du rêve, il y a tout un passé. Pourtant, avec du recul, on peut dire que l’Algérie est une terre onirique, où tout est permis. On peut être analphabète et milliardaire, avoir lu des livres et révisé toute l’histoire tout en restant lâche et couard. On peut être jeune et juste avant l’émeute passer à l’Ansej pour récupérer un milliard avec un simple extrait de naissance. A l’inverse, on peut avoir 80 ans et là où tout le monde ailleurs est à la retraite, diriger ici une entreprise publique, une ambassade ou une institution avec le salaire et les avantages liés à la fonction. On peut être frère de Président, lui-même ami d’anciens présidents, et nommer tout un pays. On peut être général sans avoir tiré une seule balle. On peut même avoir été dans l’armée française avant la guerre d’indépendance et devenir officier supérieur de l’armée après l’indépendance.
    Dans certains cas, on peut être harki et avoir vendu ses ancêtres et se retrouver après directeur de quelque chose dans le même pays que l’on a trahi. On peut démarrer drabki et finir patron du plus grand parti du pays. Détourner de l’argent et être directeur de la lutte anticorruption, on peut être justiciable et justicier, voleur et policier, Américain et ministre, gouverner en pyjama, égorger tout un village puis se repentir et ouvrir une supérette avec l’argent de ce même contribuable égorgé. On peut même expliquer la pédophilie et le viol tout en se définissant comme défenseur des valeurs humaines, parler et ne rien dire, rester silencieux et tout dire. Dans cette configuration d’une machine importée dont le schéma aurait été lu à l’envers, on peut être tout et n’importe quoi. Il est triste aujourd’hui de constater que tout le monde devient petit à petit n’importe qui et que n’importe quoi devient une bonne idée.
  • bekkar - Lundi 4 Novembre 2013 13:45
    Bonjour!

    " Le rève A.......lgérien "

    Un jeune lycéen décrocha son bac mathématique avec mention et une bonne moyenne générale de 13,85/ 20. Il pouvait s’inscrire à l’université mais sans hésiter, Il s’adressa au centre de formation professionnelle de sa ville et choisit de devenir plombier. Sa maman en pleura de dépit car elle voyait déjà son fils étudiant, allant à l’université pour devenir docteur, architecte ou ingénieur .Mais lui, têtu ne changea pas d’avis malgré les supplications et les larmes de sa mère qui refusait jusqu'à l’idée que son fils puisse devenir un jour artisan et elle le fit savoir à tous , allant jusqu'à prier les responsables du centre de « mettre l’écervelé à la porte » .Le garçon, imperturbable, son projet bien en tête, entra au cfpa et le temps d’une formation de quelques mois , il décrocha son diplôme. Il se réinscrivit aussitôt pour une autre formation en menuiserie( bois et métal ) et patiemment, il suivit ses études et décrocha brillamment ses deux diplômes. Alors il s’adressa à l'ansej pour un prêt et monta son entreprise. Il débuta avec un ami et cinq ans après, il employait 51 personnes et son entreprise florissante travaillait dans tous les coins d’Algérie et l’argent rentrait à flots. Hocine avait programmé son avenir depuis les bancs de l’école. Il savait exactement ce qu’il faisait et où il allait parce qu’il était persuadé que seul le travail payait. Alors, Il releva les manches de sa chemise et se donna à fond à sa passion et jour après jour, il devint un chef d’entreprise avisé et compétant .Il put ainsi se payer son appartement et assurer son avenir et finit par être la fierté de sa maman El hadja Bahia, qu’il envoya en pèlerinage aux lieux saints l’année dernière.
    Nos jeunes peuvent tous réussir et réaliser leur rêve .Il faut juste un peu de volonté et une confiance en soi inébranlable. Bien sur il faut aussi se donner les moyens nécessaires : D'abord se choisir un métier qu’on aime, bénéficier d' une bonne formation, faire un projet qui tient la route, frapper aux bonnes portes inlassablement pour monter l’entreprise et foncer sans hésitation moteur carburant à l’huile de coude vers la réussite qui tend inévitablement les bras .