Bouteflika a fait tout l'inverse de ce que voulait faire Boudiaf.
Quand le second a voulu lutter contre la corruption le premier l'a institutionnalisée.
Quand le second a voulu privilégier l'instruction, le premier s'est entouré d'ignorants soumis.
Quand le second a voulu mettre un terme à l'extrémisme intégriste le premier l'a brossé dans le sens du poil.....
Et quand on a dit Barakat......il nous a traité de main étrangère en nous traînant dans les commissariats.... ...
Donnez moi une seule raison de pardonner à Bouteflika....une seule ?
Ma Nssamehch ! Lelmamatt !
bekkar
- Mercredi 13 Juillet 2016 12:21
,
bekkar
- Mercredi 13 Juillet 2016 12:11
Je ne sais point si nos faisons nos projets ou si nos projets réalisés nous font.
Toujours est-il que vivre sans projets n'est pas laid non plus. ?
Considérer la vie comme une amie,la prendre comme elle vient, s'en foutre quand ça va mal , ne pas se prendre la tête quand les choses tournent au bon, telle est je crois ma philosophie en cette tranche de vie qui me reste à savourer.
Vivre et laissez vivre.
Mettre de coté les à peu près, les jugements branlants, les morales de caniveaux, les perceptions aléatoires de gus atteint de cécité de l'oeil et de l'esprit surtout.
Vivre pour soi, à travers soi, se réaliser tous les jours, matins et soirs.
Chanter la vie, l'amour, l'amitié et ho mon dieu ne jamais dire fontaine je dédaigne tes eaux car n'importe qui peut être à la merci d'une soif inattendue et désespérante..
Et toutes les sources du monde n'y pourront absolument rien, car la soif sera en nous comme une compagne gluante et maléfique.
bekkar
- Mercredi 13 Juillet 2016 08:03
Stance pour un départ.
Oui, là , il est dit que dehors est le silence
Quand tout doucettement la patience qui;
Ho toi Djillali qui toujours abhorre les partances,
Laisse en moi en cet été tout en fragrance
Qui étale,comme semis,sentiments, romances
qui s'affolent , toi qui n'est que fulgurance,
de tes départs mais surtout de tes errances
Qui sont laideurs tristesses, , désespérance.
Laisse en moi, disais-je, un gout d’acescence.
Oh moi le vagabond je cesse cette transhumance
Entre deux régions deux villes, vie en alternance.
Je regagne ma maison, mon havre de vacances
A l'année,colorée de joie, de rires , d'exubérance.
Je rentre en ma maison et je savoure ma chance
Ah finir ma vie à Zéralda où tout n'est que luminance
Mer, plage, sable fin ,soleil,bonne ambiance.
Mais quitter les allées fleuries de son enfance,
Son village, ses lieux communs ses connaissances!
Oh dieu ,je pars l’âme en peine tout en reconnaissance.
Djillali, ce matin.
bekkar
- Mercredi 13 Juillet 2016 08:02
Je ne cite pas cet inhumain,ce bandit cet argousin,
Je ne l'ai pas insulté , je l'ai traité d'assassin.
Il a tué Kheddafi et des milliers de libyens.
Point de TPI, il arrivera devant dieu, avili comme un chien.
Djillali assume, il s'est prononcé, le doigt pointé, ce matin.
Désignant un bourreau, vile, rebus de l'humanité un coquin
Du nord venu,haineux, vindicatif,cabotin,par le mal atteint.
Djillali, ce matin ......
bekkar
- Mardi 12 Juillet 2016 22:01
Ce texte a déjà été publié.
Je le remets car je pense que l'actualité l'a remis au gout du jour.
Je vous le repropose en soutient de réformes engagées qui peuvent dans un avenir pas lointain remettre de l'ordre dans la maison scolaire et réorienter les aspirations de nos enfants vers des buts où modernité et identité algérienne vont de paire.
Ainsi il apparaît évident que ce texte est vu comme un apport sincère dans le soutien à Mme le ministre de l'éducation nationale.
Un cas d’école de triste mémoire.
Jeune instituteur, je débutais ma carrière d’enseignant en 1972. Notre directeur d’école me confia la lourde tache de prendre en charge deux cours de sixième année.
A l’époque les classes étaient dites bilingues car les élèves bénéficiaient de leçons de calcul dispensées en langue française. Je me suis mis au travail .
Le programme de sixième de l’époque s’exécutait selon la méthode dite « Abbad et Renaud » du nom de ses deux concepteurs et nous l’adaptions aussi pour leçons de calcul.
Pendant deux mois, j’ai essayé patiemment d’inculquer à mes élèves ce qu’est un nombre décimal puis à additionner, à soustraire, à multiplier, et à diviser des fractions .Peu à peu les bambins commençaient à digérer ces notions très ardues et très abstraites .
Un jour, en fin de semaine, et voulant faire une halte pédagogique pour évaluer la progression et l’assimilation de mes élèves, un exercice leur fut proposé.je me suis rendu compte que les enfants ne savaient plus additionner deux fractions.
Le maître d’arabe, un égyptien, était passé par là.Et bien figurez-vous, mes amis qu’il détruisit tous mes efforts en une fraction de seconde.
Il leur démontra par je ne sais quel miracle qu’un demi ajouté à un tiers donnait deux cinquièmes.
Lui faisant remarquer gentiment qu’on ne pouvait pas additionner les choux et les chèvres mais qu’il fallait passer par un dénominateur commun, il se borna à me répondre :
« Nahnou fi misr kida . »
J’ai mis deux longues semaines à crapahuterafin de réparer ses dégâts.
Cette cohorte de cloportes ignares et sans culture que le gouvernement égyptien nous envoya fut je pense la plus grande erreur politique des dirigeants de notre jeune nation.
Les tristes individus qui arrivèrent chez nous étaient soit des chômeurs dont les niveaux scolaires étaient très disparates et parfois nuls mais avec des diplômes de complaisance soit des islamistes (frères musulmans) que le pouvoir égyptien voulait éloigner.
La seule chose qu’ils ont semée dans les âmes pures de nos enfants ce sont ces graines empoisonnées d’un islamisme intolérant qui nous dirigea malheureusement tête baissée vers la guerre civile et le terrorisme.
Une opportunité unique s’offre aux modernistes de notre pays pour ouvrir une page nouvelle.
Le moment propice tant attendu est à saisir.
Nos gouvernants peuvent mettre le pays sur la rampe et décoller vraiment maintenant qu’un consensus quasi général se dessine pour une identité nationale assumée en dehors des chimères d’une Oumma arabe qui n'existe que dans les esprits malades de djihadistes ou de salafistes surtout mal dans leur peau.
Ou dans celle de ceux qui font de l'arrimage de notre pays au bateau ivre du moyen orient, un moyen diabolique d'asservir un peuple à leur médiocrité en usant et abusant du seul fond de commerce qu'ils aient trouvé pour mettre la main sur notre avenir, le sacré de la langue arabe et celui du coran qu'ils considèrent comme un bien dont ils sont les uniques dépositaires.
Nos dirigeants sauront-ils écouter l’appel de l'heure , soutenir Madame Benghabrit, lui donner carte blanche pour reformer l'école, la mettre sur les rails de la modernité, éloigner d'elle les gourous, les obscurantistes, les charlatans, les commerçants du verbe et du savoir bradés dans des bouis-bouis distillant des cours qui n'ont de particuliers que les sommes malhonnêtes qu'ils enfouillent sans pudeur, chaque mois.
Ou bien est-ce encore un autre rendez-vous raté avec l’Histoire?
bekkar
- Samedi 9 Juillet 2016 19:49
La tenue traditionnelle de nos vieux : djellaba et burnous pour la gente masculine, le voile pour nos mamans, le tout dans une blancheur immaculée symbolisent, si besoin est, la pureté d’une âme qu’ils ont préservée intacte année après année, malgré les aléas de la vie et les vicissitudes du temps .
Qui a-t-il de plus beau qu’un vieil homme de chez nous portant un saroual traditionnel, surmonté d’un gilet brodé , ajouré, décoré de boutons dorés porté sur une chemise d’une blancheur immaculée, un burnous blanc négligemment posé sur une épaule fière et se pavanant avec prestance ,avec sur la tète une chéchia rouge ou blanche selon le goût du moment et les circonstances ?
L’éclat de cette tenue magnifique était toujours rehaussé part le port fringant d’une belle khezrana , canne, en bois d’olivier, si chère à mon papa qu’il l’avait sculptée de ses propres mains .
Ces traditions qui malheureusement se sont perdues peu à peu faisaient pourtant partie de la culture algérienne, nous distinguaient et nous donnaient une originalité qui ajoutait une touche de noblesse à nos vénérables aïeux. Dans ces tenues, même leurs rides disparaissaient à l’œil et en véritable patine du temps, bonifiaient ces hommes que l’âge lui même respectait.
Et quand ils sortaient accompagnés de leur épouse toute droite dans son haïk blanc porté avec amour, le serwal en velour tombant sous le blanc du haik, mettant en valeur la finesse d'une cheville ou le galbe délicieux d' un mollet, la démarche altière , regard franc, honnête et sérieux juché sur un ha3djar en soie et dentelle brodée, les yeux passés au khol toute une culture prenait la route pour l’originalité d’une identité unique que les gens de ce pays, oh regrettables mœurs d’aujourd’hui, n’ont pas su préserver contre les agressives invasions venues de l’est.
Oui, ne nous leurrons pas, le danger qui a surgi dans le paysage local et les changements dans nos us et coutumes n’est pas venu tant de l’ouest que de l’est du continent Africain.
Et la blancheur noble et magnifique de nos tenues ouvraient nos cœurs vers tous les espoirs à venir et nous remplissaient de joie.
Aujourd’hui, le noir est partout comme si la société algérienne était en deuil perpétuel et fait peine à voir. Tout y est laid vulgaire triste et pas de chez nous.
Nous somme devenu ces corbeaux qui voulant marcher comme une perdrix se sont handicapés la démarche pour des générations et des generations de claudiquants clopin-clopant faisant peine à voir.
invité
- Samedi 9 Juillet 2016 02:21
c'etait en 1963 ou en 64, je suis au dernier rang en haut, 4 eme de gauche a droite/Hamid BESSAAD.
lamine
- Mercredi 8 Avril 2015 16:10
c est en quelle année
mohamed halouane
- Jeudi 11 Décembre 2014 21:02
c'est mois halouane mohamed qui tiens l'ardoise. c'est ma belle enfance
10 commentaires
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