ALLAH IDIR ATAWIL AUX ALGERIENS AVEC CETTE LOI DE FINANCE 2017
A voir
قانون المالية الجديد 2017 احذر يا مواطن
منوعات dz
Pour les autres
A voir
فضيحة في جلسة مناقشة قانون المالية 2017.. حضر النواب وغاب النقاش!
HASBOUNA ALLAHOU WA NI3MA AL WAKIL
WINE BIHA SURTOUT LES PAUVRES WACHE IDIROU AVEC CETTE LOI ?
MIMIH
- Friday 8 January 2016 21:30
Lorsque le ministre des finances déclare a la presse
AHAMDOU RABI
3ANDOU AL HAK HOUWA MINISTRE KHATIH ATAKACHOUF
DIRE QU'IL DECLARE QUE LES FAMILLES DEMUNIS qui sont a 1 million d'algeriens AURONT UNE 2 EME AIDE DE L'ETAT
DITE NOUS YA SI BOUKHALFA ACH HALE 3 MILLES DINARS OU PLUS ?
MIMIH
- Friday 8 January 2016 21:25
Des hausses de 10% à plus de 50% sont annoncées
Augmentation surprise de l’électricité et du gaz
Des augmentations des tarifs de l’électricité et surtout ceux du gaz pouvant aller jusqu’à plus de 50% sont annoncées dès ce mois de janvier. Outre la hausse de la TVA prévue dans la loi de finances 2016, la Commission de régulation de l’électricité et du gaz (Creg) vient de décider le réajustement des tarifs avec des augmentations pouvant aller jusqu’à 31,13% pour la basse tension et 41,73% pour la basse pression.
Cherif Bennaceur - Alger (Le Soir) - Les ménages vont payer plus cher l’énergie, surtout le gaz qu’ils consomment. La Commission de régulation de l’électricité et du gaz (Creg) a envoyé le 29 décembre 2015 une correspondance aux sociétés concessionnaires de distribution de l’électricité et du gaz. Dans cette adresse, l’autorité de régulation informe les distributeurs de l’entrée en application dès le début janvier 2016 de nouveaux tarifs de l’électricité et du gaz.
Les tarifs toutes taxes comprises devraient ainsi augmenter de 26,66% jusqu’à 44,24% pour l’électricité basse tension et de 10% jusqu’à 55,90% pour le gaz basse pression. Certes, ces tarifs ne peuvent entrer en vigueur que si l’autorité de régulation décide de les rendre publics, conformément à la législation en vigueur.
En effet, la Creg doit les rendre publics par voie de presse ou sur son site internet notamment, ce qui n’était pas effectif encore hier afin que les distributeurs puissent les appliquer.
Notons que ces derniers ne peuvent appliquer les nouveaux tarifs que 48 heures après l’annonce officielle. Pour autant, la commission qui reçoit chaque année des demandes de réajustement des tarifs formulées par les opérateurs et basées notamment sur les coûts, sans y répondre positivement, change de cap maintenant. Or, cette augmentation des tarifs, toujours revendiquée par les sociétés de distribution mais jamais avalisée, représente une contrainte majeure pour les ménages et par conséquent la société.
Malgré sa pertinence du point de vue de la réalité des prix et des coûts, sa contribution à l’amélioration des recettes des opérateurs et à la rationalisation de l’utilisation de l’énergie, l’augmentation des tarifs grève davantage le budget des ménages. Déjà confrontés au réajustement opéré dans la loi de finances 2016 de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA), celle-ci passant de 7% à 17% pour une consommation d’électricité et de gaz naturel dépassant respectivement 250 kilowattheure (kWh) par trimestre (soit 1 000 kWh par an) et
2 500 thermies par trimestre, les Algériens risquent de voir leur facture augmenter d’au moins 50%, voire davantage et surtout pour le gaz naturel. Ce qui va constituer certainement un facteur de mécontentement social légitime, au-delà des impacts négatifs sur le plan de l’activité socioéconomique (production, distribution, transport...).
Ainsi, pour l’électricité basse tension (BT), les augmentations sans la hausse de la TVA devraient varier de 0% (consommation de moins de 500 kWh et de 500 à 1 000 kWh) à 15,15%(entre 1 000 kWh et 4 000 kWh) et 31,13% (plus de 4 000 kWh). En prenant en compte la hausse de 10 points de la TVA, les tarifs TTC augmenteront de 26,66% (entre
1 000 et 4 000 kWh) et à 44,24% (plus de 4 000 kWh). Pour l’électricité haute tension, les augmentations sans TVA sont de 20% et en TTC de 32%. Idem pour la moyenne tension. Quant au gaz naturel, les augmentations sont plus conséquentes.
Ainsi, les augmentations hors TVA pour le gaz basse pression (BP) vont de 0% (consommation inférieure à 10 000 thermies) à 24,04% (entre 10 000 et 30 000 thermies) et à 41,73% pour une consommation supérieure à 30 000 thermies. Avec la TVA, les augmentations pour la BP iront de 10% (entre 5 000 et 10 000 thermies) à 36,44% (entre 10 000 et 30 000 thermies) et à 55,90% pour les consommations supérieures à
30 000 thermies. Relevons ainsi que les tarifs du gaz BP seront plus élevés que ceux de l’électricité BT. Quant à la haute pression, les augmentations sans TVA sont de l’ordre de 48,48% et avec TVA de 63,33% tandis que pour la moyenne pression, ces hausses sont de 26,50% sans TVA et de 39,15% avec TVA.
Notons, ce faisant, que ce réajustement de la tarification s’opère sans que le ministre de l’Energie en ait fait état d’une manière ou d’une autre. En déplacement à Annaba, Salah Khebri s’est contenté d’évoquer uniquement la hausse de 10% de la TVA prévue par la loi de finances 2016.
Cela même si le ministre de l’Energie avait évoqué, voilà quelques semaines, des augmentations de tarifs qui ne devraient pas avoir selon lui d’impact négatif sur le portefeuille des ménages. Relevons également que la Creg qui vient de décider de ces augmentations compte actuellement trois membres de son directoire dont le président de la commission, nommés seulement à titre d’intérim.
Notons que le président par intérim de la Creg était injoignable hier en cours de journée.
C. B.
MIMIH
- Saturday 5 December 2015 21:44
A MIMIH - Samedi 5 Décembre 2015 09:22
Bonsoir mon frère
NO COMMENT
:whistling:
Amicalement.
MIMIH
- Saturday 5 December 2015 21:40
Michel Sapin
est né le 9 avril 1952 à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine)
Fonctions ministérielles
Ministre des Finances et des Comptes publics, depuis avril 2014
Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social, de mai 2012 à mars 2014
Ministre de la Fonction Publique et de la Réforme de l’État, de mars 2000 à mai 2002
Ministre de l’Économie et des Finances, d’avril 1992 à mars 1993
Ministre délégué auprès du ministre de la Justice, de mai 1991 à avril 1992
Fonctions électives
Député de l’Indre, de 2007 à 2012
Président du Conseil régional du Centre, de 1998 à 2000, puis de 2004 à 2007
Maire d’Argenton-sur-Creuse (Indre), de 1995 à 2001, puis de 2002 à 2004, puis de 2007 à 2012
Conseiller général de l’Indre, de 1998 à 2004
Président de la Communauté de communes du Pays d’Argenton-sur-Creuse, depuis 1995
Conseiller régional d’Ile-de-France, de 1992 à 1994
Conseiller municipal de Nanterre, de 1989 à 1994
Président de la commission des lois à l’Assemblée nationale, de 1988 à 1991
Député des Hauts-de-Seine, de 1986 à 1991
Vice-président de l’Assemblée nationale, de 1984 à 1985
Député de l’Indre, de 1981 à 1986
Fonctions politiques
Membre du bureau national du Parti socialiste. Secrétaire national à l'économie et à la fiscalité, depuis février 2007
Responsable national à la Trésorerie auprès du Premier secrétaire de 2003 à 2008
Secrétaire national à l’emploi de 1998 à 2000
Secrétaire national aux questions économiques de 1997 à 1998
Autres fonctions
Président d’Avenir rail, de 2004 à 2007
Premier vice-président de l’Association des régions de France, de 1998 à 2000
Membre du Conseil de la politique monétaire de la Banque de France, de 1994 à 1995
Carrière
Conseiller du tribunal administratif de Paris, depuis 1980
Cursus
Ecole nationale d’administration (promotion Voltaire)
Ecole normale supérieure (Ulm)
Diplôme de l’Institut d’études politiques de Paris
Diplôme d’études approfondies (DEA) de géographie
Licence d’histoire
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Le Ministre des Finances
M.Slim Chaker ancien Secrétaire d'Etat auprès du Ministre du Tourisme et du Commerce chargé du Tourisme et ancien Ministre de la Jeunesse et du Sport au sein du Gouvernement d'Union Nationale en 2011 . M. Chaker a obtenu son Baccalauréat en 1979 au Lycée Sadiki de Tunis. Il est titulaire d'une Licence de Mathématiques de l'Ecole Normale de Tunis en 1983.
En 1986, M. Chaker obtient, à Paris, un diplôme d'ingénierie statistique et en 2008 un MBA du Méditerranean School of Business.
M. Chaker a entamé sa carrière professionnelle en 1986 au Ministère du Plan. De 1991 à 1992, il est directeur adjoint de la Banque Tuniso-Qatarie d'Investissement. De 1992 à 1998, il occupe le poste de directeur des études au Centre Technique du Textile (CETTEX) relevant du Ministère de l'Industrie. Il a ensuite occupé, jusqu'à 2008, le poste de directeur coordonnateur du Fonds d'Accès aux Marchés Extérieurs (FAMEX), relevant du Ministère du Commerce.
M. Chaker est expert international de la Banque Mondiale chargé de la recherche et de l'élaboration des stratégies en matière de promotion des exportations. Jusqu'à sa récente nomination, il était consultant international du programme Européen pour la promotion des exportations en Jordanie, chargé de la mise à niveau du Secteur des services et du Tourisme.
M. Slim Chaker est né le 24 août 1961 à Sfax. Marié et père de trois enfants.
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Ministre des finance algerien
Nom : BENKHALFA
Prénom : Abderrahmane
Date et lieu de naissance : 02 juillet 1949 à Tiaret
Situation familiale : Marié
Formations et Etudes :
Etudes secondaires accomplies.
Etudes universitaires accomplies à l’Ecole Supérieure de Commerce – Université d’Alger.
Diplômes :
Licence en sciences commerciales et financières.
Certificat de spécialisation.
Etudes Doctorales à l’Université de Grenoble (France) de 1974 à 1977
Spécialisation de courte durée à l’université de Varsovie (Pologne).
Perfectionnement : Différents séminaires et formations en Management des entreprises / GRH/ Management bancaire.
Activités Professionnelles antérieures :
Ingénieur – Conseil/ Chef de service spécialisé en études économiques et financières de l’INPED – BOUMERDES de 1976 à 1980.
Haut fonctionnaire, Directeur de la Formation et de la Recherche / Conseiller/ Directeur chargé du secteur de la Pêche de 1981 à 1992.
Directeur Central à la Banque Nationale d'Algérie (BNA) de 1993 à 1994.
Délégué Général de la Profession Bancaire (ABEF) de 1995 à 2012.
Membre de l’Autorité Monétaire (Banque d’Algérie) de 2001 à 2015.
Membre du Comité de Réforme de l’Etat.
guest
- Saturday 5 December 2015 15:26
Front social
De quels moyens de contrôle dispose encore le gouvernement ?
Le gouvernement est-il en mesure de maîtriser le front social ? C’est la grande question qui se pose, à la veille de la mise en application de la loi de finances pour 2016 qui, à coup sûr, aura des répercussions directes sur le pouvoir d’achat. Des répercussions qu’induiront, inévitablement, les augmentations prévues pour les produits énergétiques, comme l’électricité et les carburants.
Kamel Amarni - Alger (Le Soir) - Certes, les augmentations de base ne sont pas excessives. Mais quand cela touche l’énergie, cela entraînera, et de façon mécanique, des augmentations en chaîne et dans tous les secteurs.
Toute la chaîne de la production sera concernée, de l’industrie à l’agriculture en passant par les transports, le commerce, les services, le tourisme, bref tous les secteurs. C’est d’autant plus inquiétant que les mécanismes de contrôle et de répression des fraudes et des prix restent à l’état artisanal. A tel point que, souvent, de simples commerçants de gros et même de détail, «anticipent» sur l’application de nouvelles taxes, voire même fixent eux-mêmes les prix, toujours revus à la hausse aux alentours de fin décembre, début janvier de chaque année.
La chute enregistrée ces derniers mois par la valeur du dinar est une autre source d’inquiétude sur la stabilité des prix, du marché et, partant, du pouvoir d’achat et du front social. Le gouvernement Sellal a-t-il prévu tout cela, toutes ces conséquences, avec des simulations préalables pour éviter toute mauvaise surprise dès début janvier ? Car le plus important se situe à ce niveau-là. Ce sont ces études minutieuses qu’il y a lieu de mener pour déterminer avec précision les répercussions, secteur par secteur, produit par produit, des augmentations décidées pour l’énergie. Aussi, est-il impératif d’en fixer les seuils avec une extrême rigueur et, cela va de soi, prévoir un mécanisme efficace et dissuasif pour d’éventuels dépassements.
Les instruments de contrôle traditionnels, complètement obsolètes, doivent être profondément rénovés pour éviter qu’une augmentation de 5 ou 6 DA sur le prix des carburants par exemple ne se transforme en un véritable cauchemar pour le citoyen, par les barons de la spéculation qui détiennent le monopole sur bien des produits. L’Etat ne peut plus se permettre, en effet, sa politique suicidaire de fuite en avant, en allant puiser directement dans le Trésor public, pour faire face à n’importe quel foyer de tension, sur le front social.
Les solutions de facilité et économiquement ruineuses comme le dispositif Ansej, ne peuvent plus constituer un refuge pour s’offrir une paix sociale, du reste factice et éphémère. Cette politique, à laquelle Bouteflika n’avait de cesse d’avoir recours comme cela avait été le cas en 2011, ne peut même plus être financée sans mettre en péril la sécurité nationale même avec la réduction drastique des revenus nationaux.
La dégringolade des prix du pétrole qui s’est abattue telle une foudre ravageuse sur l’économie nationale depuis décembre 2014 réduit, en même temps, la marge de manœuvre populiste des pouvoirs publics à sa plus simple expression.
Le gouvernement qui avait multiplié les largesses pour avoir la paix sociale ou pour les besoins des troisième et quatrième mandats, avec les multiplications de mesures populistes et très coûteuses, ne peut même plus répondre par d’autres augmentations salariales ou des recrutements massifs et anarchiques ne répondant à aucune norme économique.
Faute donc d’une extrême rigueur et une répression de tous les instants de tous les barons de l’informel et les détenteurs des monopoles névralgiques qui contrôlent par exemple tous les produits agricoles, le gouvernement se trouvera confronté à la rue. A la fronde sociale, ce qui constitue sa hantise permanente depuis quelques années…
K. A.
A MIMIH
- Saturday 5 December 2015 09:22
Le général Toufik rompt le silence
Le général de corps d’armée, Mohamed Mediene dit Toufik
zoom
Le général de corps d’armée, Mohamed Mediene...
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Le général de corps d’armée à la retraite, Mohamed Mediene dit Toufik, a fini par sortir de son mutisme. Dans une déclaration parvenue, aujourd’hui vendredi, à El Watan, l’ex- patron du DRS a dénoncé la condamnation du général à la retraite, Abdelkader Aït Ouarabi dit Hassan, à 5 ans de prison ferme.
Dans sa déclaration, la première pour cet homme qui a longtemps cultivé le mystère, il a donné sa version des faits concernant l’affaire du général Hassan, ancien chef du Service de coopération opérationnelle et de renseignement antiterroriste (Scorat). Toufik s’est dit « consterné » par le verdict prononcé par le Tribunal militaire d’Oran le 26 novembre dernier.
Il a expliqué que : « le général Hassan était le chef d’un service érigé par le décret agissant sous l’autorité de mon département à ce titre il était chargé d’une mission prioritaire avec des prérogatives lui permettant de mener des opérations avec les objectifs fixés. Les activités de son service étaient suivies régulièrement dans le cadre réglementaire ».
« Laver l’honneur des hommes »
Au sujet de l’opération qui a valu au général Hassan l’accusation d’« infraction aux consignes générales», il a affirmé que l’ancien chef du Scorat a « traité le dossier dans le respect des normes et en rendant compte aux moments opportuns ».
Toufik a estimé « urgent » de « réparer une injustice qui touche un officier qui a servi le pays avec passion et de laver l’honneur des hommes qui, tout comme lui, se sont entièrement dévoués à la défense de l’Algérie ».
« J’ose espérer que mon intrusion médiatique, même si elle constitue un précédent, ne suscite pas de commentaires qui risquent de la dévoyer et de la détourner du but recherché », a conclu Mohamed Mediene.
Déclaration intégrale du général à la retraite Mohamed Mediene dit Toufik
Consterné par l’annonce du verdict prononcé par le tribunal militaire d’Oran à l’encontre du général Hassan, et après avoir usé de toutes les voies réglementaires et officielles, j’ai estimé qu’il est de mon devoir de faire connaître mes appréciations à l’intention de tous ceux qui sont concernés par ce dossier, ainsi que tous ceux qui le suivent de près ou de loin.
Le général Hassan était le chef d’un service érigé par le décret agissant sous l’autorité de mon département. A ce titre, il était chargé d’une mission prioritaire avec des prérogatives lui permettant de mener des opérations en relation avec les objectifs fixés. Les activités de son service étaient suivies régulièrement dans le cadre réglementaire.
En ce qui concerne l’opération qui lui a valu l’accusation d’« infraction aux consignes générales », j’affirme qu’il a traité ce dossier dans le respect des normes et en rendant compte aux moments opportuns. Après les résultats probants qui ont sanctionné la première phase de l’opération, je l’ai félicité –lui et ses collaborateurs – et encouragé à exploiter toutes les opportunités offertes par ce succès. Il a géré ce dossier dans les règles, en respectant le code de travail et les spécificités qui exigent un enchaînement opérationnel vivement recommandé dans le cas d’espèce.
Le général Hassan s’est entièrement consacré à sa mission. Il a dirigé de nombreuses opérations qui ont contribué à la sécurité des citoyens et des institutions de la République. Sa loyauté et son honnêteté professionnelle ne peuvent être mises en cause. Il fait partie de cette catégorie de cadres capables d’apporter le plus transcendant aux institutions qu’ils servent.
Au-delà des questionnements légitimes que cette affaire peut susciter, le plus urgent, aujourd’hui, est de réparer une injustice qui touche un officier qui a servi le pays avec passion, et de laver l’honneur des hommes qui, tout comme lui, se sont entièrement dévoués à la défense de l’Algérie.
Les médias ont traité abondamment cette affaire en faisant preuve de beaucoup d’à-propos, malgré l’absence d’éléments d’appréciation officiels. J’ose espérer que mon intrusion médiatique, même si elle constitue un précédent, ne suscite pas de commentaires qui risquent de la dévoyer et de la détourner du but recherché.
Le général de corps d’armée à la retraite Mohamed Mediene
Farouk Djouadi
guest
- Thursday 3 December 2015 17:22
COMMUNIQUÉ DE LA PRÉSIDENCE
Le président Bouteflika en France pour une "courte visite privée" et des "contrôles médicaux"
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, s'est rendu jeudi en France pour une "courte visite privée" au cours de laquelle il effectuera ses "contrôles médicaux périodiques", a annoncé la présidence de la République dans un communiqué repris ,par l'APS.
. Le contenu du texte intégral du communiqué: "Son Excellence M. Abdelaziz
Bouteflika, président de la République, a quitté le pays ce jour, jeudi 3 décembre 2015, pour une courte visite privée en France, durant laquelle il effectuera ses contrôles médicaux périodiques, sous la direction de ses médecins traitants".
Liberte-algerie.com
MIMIH
- Wednesday 2 December 2015 20:35
C'est bientot LE MAWLID ANABAWI ACHARIF C'EST POUR LE 11 OU 12 DECEMBRE
JE SOUHAITE UNE BONNE FETE A TOUS SAHA MOULOUDKOUM
QDSL NOTRE PROPHETE MOHAMED
MAIS ATTENTION LEMHARAK
A voir
El Mouloud المولد النبوي الشريف Bekri Vs Lyoum - 2015-ZANGA CRAZY & Mister x -EP20-
Zanga Crazy
Bonne fête a tous.
MIMIH
- Tuesday 1 December 2015 20:29
Le projet de loi de finances 2016 adopté par l’APN
Le projet de loi de finances 2016 a fini par être adopté ce lundi à l’APN au grand déssaroi de l’opposition qui a tenté d’empêcher, par tous les moyens, la validation de ce texte qui consacre, selon elle, l’abandon du caractère social de l’Etat.
Le projet de loi de finances 2016 a été adopté à la majorité par l’APN lors d’une séance plénière présidée par Mohamed Larbi Ould Khelifa, président de cette institution parlementaire.
Le vote a, cependant, été boycotté par les parlementaires du Front des forces socialistes (FFS), du Parti des travailleurs (PT), de l'Alliance de l'Algérie verte (AAV) et du Front de la justice et de développement (FJD), note APS.
Ce projet de loi de finances, élaboré sur la base d'un prix de référence du baril du pétrole de 37 dollars et d'un taux de change de 98 DA pour 1 dollar, prévoit une croissance économique hors hydrocarbures de 4,6% et une inflation de 4%.
Il prévoit des dépenses globales de 7.984,1 milliards DA (mds DA), en baisse de 9% par rapport à 2015, composées de 4.807.3 mds de DA de dépenses de fonctionnement et de 3.176.8 mds de DA de dépenses d'équipement.
Il table sur des recettes de 4.747,43 mds DA (- 4,3% par rapport à 2015).
Pour l’opposition qui a rédigé une déclaration commune, cette loi ne fait que consacrer l’ingérence des hommes d’affaires et des corrompus. Aussi, l’opposition soulève la réintroduction de l’article 71 supprimé qui donne au gouvernement la possibilité de «décider, par décret motivé sur rapport du ministre des Finances, de l’annulation ou du gel de projets lorsque les équilibres budgétaires sont compromis».
les dépputés dénoncent aussi une « falsification » des rapports complémentaires de certains articles du projet de la Loi de finances 2016, notamment les articles 2, 4 et 6.
Elwatan.com
ALILOU
- Tuesday 16 June 2015 22:42
Le ministère du commerce a déclaré qu'il va nous faire des marchés avoisinantes INCHAALAH.
A voir
عمارة بن يونس ومشكلته مع الخمور حكايات الجزائر ما احلاها
حكايات الجزائر ما أحلاها
a alilou
- Thursday 1 January 2015 18:44
il faut soulever les problémes a a3mek ahmed comme tu l,as fait avant puisque a chaque fois tu dit ya a3mi ahmed fait nous ca et fait nous ca
ALILOU
- Thursday 1 January 2015 12:58
Sinon laissez les marchands ambulants exercer a ce lieu comme avant et le marché hebdomadaire wikta halitouh halitouh.
Allah ijib alkheir a menerville bon courage et a dieu.
ALILOU
- Thursday 1 January 2015 12:54
La soufrance du pauve citoyen avec la cherté des fruits et legumes pour quand ?
MIMIH
- Wednesday 31 December 2014 16:16
Je conseille le chef de daira et le maire de faire un tour au matché couvert de menerville et un tour a tigjelabine , bni amrane ou boudouaou pour voir la differance des prix des fruits et legumes et la soufrance des citoyens DEMUNIT.
Je pense que l'ouverture du marché hebdomadaire est une URGENCE pour les menervillois pour mettre fin a cette cherté qui flambe de jour en jour SANS CONTROLE A MENERVILLE.
Merci.
ALILOU
- Monday 29 December 2014 19:18
La courgette a 220 dinars ya nass wine itih alguelil.
La banane de 170 a 200 dinars a thenia alors qu'a ali liguia elle fait 130 dinars.
Ya 3ami ahmed wakila on va demenager a tidjelebine.
rachid boutiche canada
- Friday 26 December 2014 21:50
a l,occasion de la nouvelle annee je souhaite a tous et a toutes lea menervilois une bonne et heureuse annee 2015 ainssi que tous les ussmistes USMA
guest
- Friday 26 December 2014 21:36
la bonne gerence
guest
- Friday 26 December 2014 21:35
l,interieur du bloc siege apc est devenu une terre d,agricultures depuis plus de 5mois
guest
- Friday 26 December 2014 21:34
block apc cenima
ALILOU
- Friday 26 December 2014 14:39
guest - Vendredi 26 Décembre 2014 12:20
LA CHERTE DES PRODUITS FRUITS ET LEGUMES A MENERVILLE
GALEK MA IHASSSE BELJEMRA RIR LI EKOUATOU.
guest
- Friday 26 December 2014 12:20
ya Mimih Goul el 3amek Ahmed yebnilkoum Maison de jeunes, cinema wela sale des fetes quelques choses pour les jeunne de thenia pour ne pas consommer baucoup de zetla et cachiyate une aide pour les associations soit de sport ou autres nous on a pas besoins de manger et alllez aux WC on a besoins que nos jeunnes soit cultuver et ne pas faire des betises ?????????????
MIMIH
- Thursday 25 December 2014 08:58
Ya 3ami ahmed on ne comprend pas pourquoi ce retard pour ouvrir le marché hebdomadaire pour casser les prix, la population demunit SOUFFRE AVEC LA CHERTE DES PRIX AUX MAGASINS ET LE MARCHE COUVERT.
Une differance de 20 a 50 dinars des ses produits parapport aux communes avoisinantes.
Faite un tour et vous verrez par vous même les prix,
GALEK
ALGUELIL IMOUTE FELILE
Observateur
- Saturday 19 April 2014 18:55
Mes sincères condoléances a la famille de notre ami ahcene, c’était un homme plein de sagesse, un vendeur honnête et le sourire ne quittait pas son visage, allah yerahmou ou mathwah aljena, allah ya3ti assabr a sa famille.
ina li allahi wa ina illayhi raji3oune.
MIMIH
- Monday 14 April 2014 09:04
ALILOU
On a pas encore comprit si c'est un nouveau marché pour le bétail ou quoi ?
MIMIH
- Sunday 13 April 2014 08:38
Wilaya de Boumerdès
Seize marchés de proximité non réalisés
La wilaya de Boumerdès compte 45 marchés informels et quelque 2167 vendeurs à la sauvette.
De nombreux marchés informels qui enlaidissent les centres urbains ne sont pas encore éradiqués à Boumerdès. C’est le cas de ceux se trouvant dans les localités des Issers, Chabet El Ameur, Baghlia, Béni Amrane, Tidjlabine où les commerçants ambulants continuent d’étaler leurs marchandises à même les trottoirs. Les services de la direction de l’urbanisme ont recensé 45 sites (marchés informels) employant 2167 marchands à la sauvette. Ce problème persiste surtout en raison du laxisme des autorités et les retards enregistrés dans la réalisation des marchés de proximité. En effet, la wilaya a bénéficié de 36 projets de réalisation de marchés couverts, dont 19 ont été inscrits au titre des plans communaux de développement de 2011 et 2012, tandis que 17 autres ont été confiés à l’entreprise publique Batimetal, a-t-on appris auprès de la direction du commerce.
Journal El watan
MIMIH
- Monday 31 March 2014 22:02
Il ya un article dans un journal qui dit que les discours des candidats aux présidentielles sont a l'origine de la flambée des prix des fruits et légumes.
Mais a tidjelabine les prix sont biens tout au long de la route du centre ville.
Observateur
- Monday 31 March 2014 18:48
A MIMIH
Je suis avec la réinstallation des marchands ambulants, comme les autres communes.
29 comments
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